La franc-maçonnerie a été définie comme une institution d’initiation spirituelle au moyen de symboles et de rites, elle est aujourd’hui une méthode de travail, un idéal, elle est un art de vivre, une philosophie humaniste.
Les méditations dans le temple sont communes à tout maçon et comment pourrait-il en être autrement ? Cet espace philosophique et sacré permet à l’esprit de s’élever, au mental de se tenir au repos, calme, loin du tumulte des passions, l’esprit sort des ténèbres et du chaos pour aller vers la Lumière, vers l’Ordre éternel et universel du monde et des hommes.
Ces méditations sont le fait d’une femme, maçonne, qui chemine vers la voie de la sagesse, du coeur, qui sait que pour tout maçon, il est nécessaire de concilier l’homme intérieur (celui de la voie spirituelle, la quête initiatique) et l’homme extérieur (l’engagement citoyen, la laïcité), l’idéal étant que ces deux êtres n’en fassent plus qu’un. Il s’agit de devenir entièrement soi-même et c’est sans doute cela être sage. C’est admettre la fragilité de ce que nous pensons et des arguments qui fondent notre jugement.
La franc-maçonnerie a été définie comme une institution d’initiation spirituelle au moyen de symboles et de rites, elle est aujourd’hui une méthode de travail, un idéal, elle est un art de vivre, une philosophie humaniste.
Les méditations dans le temple sont communes à tout maçon et comment pourrait-il en être autrement ? Cet espace philosophique et sacré permet à l’esprit de s’élever, au mental de se tenir au repos, calme, loin du tumulte des passions, l’esprit sort des ténèbres et du chaos pour aller vers la Lumière, vers l’Ordre éternel et universel du monde et des hommes.
Ces méditations sont le fait d’une femme, maçonne, qui chemine vers la voie de la sagesse, du coeur, qui sait que pour tout maçon, il est nécessaire de concilier l’homme intérieur (celui de la voie spirituelle, la quête initiatique) et l’homme extérieur (l’engagement citoyen, la laïcité), l’idéal étant que ces deux êtres n’en fassent plus qu’un. Il s’agit de devenir entièrement soi-même et c’est sans doute cela être sage. C’est admettre la fragilité de ce que nous pensons et des arguments qui fondent notre jugement.