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DARCHE Claude Mourir pour renaître au travers des grades maçonniques Librairie Eklectic

Mourir pour renaître au travers des grades maçonniques

Auteur : DARCHE Claude
Editeur : DERVY Editions         collection : Bibliothèque de la F-M
Nombre de pages : 160
Date de parution : 17/07/2017
Forme : Livre de poche ISBN : 9791024202129
D1080

NEUF habituellement en stock
Prix : 12.00€

S’initier, c’est apprendre à mourir, et par là même à vivre. Cependant, il y a des degrés dans cet apprentissage du bien mourir, du bien naître, du bien vivre. Selon les degrés, selon les étapes de notre vie maçonnique qui va rapidement se confondre avec notre vie profane, notre vie tout court, nous allons mourir à certaines choses pour nous éveiller à d’autres.
« Mourir et renaître », ces termes si souvent employés prennent différentes formes, différents aspects, nous ne renaissons pas au grade d’apprenti comme au grade de compagnon ou comme au grade de maître ou comme plus tard, au 18e degré du REAA, Chevalier Rose Croix
La « grande » mort sera celle de mourir au profane pour rentrer dans le sacré, pour sortir du monde des apparences et enfin aller vers le monde réel, celui que notre regard pourra enfin saisir parce que délivré de sa gangue, de sa boue, de ce qu’il veut voir et non de ce qui Est.


S’initier, c’est apprendre à mourir, et par là même à vivre. Cependant, il y a des degrés dans cet apprentissage du bien mourir, du bien naître, du bien vivre. Selon les degrés, selon les étapes de notre vie maçonnique qui va rapidement se confondre avec notre vie profane, notre vie tout court, nous allons mourir à certaines choses pour nous éveiller à d’autres.
« Mourir et renaître », ces termes si souvent employés prennent différentes formes, différents aspects, nous ne renaissons pas au grade d’apprenti comme au grade de compagnon ou comme au grade de maître ou comme plus tard, au 18e degré du REAA, Chevalier Rose Croix
La « grande » mort sera celle de mourir au profane pour rentrer dans le sacré, pour sortir du monde des apparences et enfin aller vers le monde réel, celui que notre regard pourra enfin saisir parce que délivré de sa gangue, de sa boue, de ce qu’il veut voir et non de ce qui Est.