En 1937, Hjalmar Ekström (1885-1962), le cordonnier d´Helsingborg, publie son « Commentaire du Cantique des Cantiques ». Il y retrace le chemin du Christ avec chaque homme jusqu´au but ultime : l´union parfaite entre le Christ et l´âme. Parallèlement à son travail, il exerce un ministère d´accompagnement spirituel, dont témoigne une abondante correspondance.
À l´occasion du cinquantième anniversaire de la mort du grand mystique suédois, Patrick-Dominique Linck, o.p., fait paraître la première traduction en français de son ouvrage principal, suivie de la traduction de 37 lettres de direction spirituelle.
Outre une analyse des textes de Hjalmar Ekström à la lumière de l´ecclésiologie de l´Église suédoise et des principales églises libres, on trouvera sa biographie et celle de ses principaux amis, ainsi qu´un portrait du grand spirituel du XVIIe siècle qui inspirait ce groupe, Jean de Bernières-Louvigny (1602-1659). Malgré la prise de distance d´Ekström à l´égard de toute institution ecclésiale, il considère que l´Église joue un rôle important sur le chemin qui mène l´homme au Christ — même s´il s´agit, selon sa belle formule, d´« un chemin sans chemins ».
En 1937, Hjalmar Ekström (1885-1962), le cordonnier d´Helsingborg, publie son « Commentaire du Cantique des Cantiques ». Il y retrace le chemin du Christ avec chaque homme jusqu´au but ultime : l´union parfaite entre le Christ et l´âme. Parallèlement à son travail, il exerce un ministère d´accompagnement spirituel, dont témoigne une abondante correspondance.
À l´occasion du cinquantième anniversaire de la mort du grand mystique suédois, Patrick-Dominique Linck, o.p., fait paraître la première traduction en français de son ouvrage principal, suivie de la traduction de 37 lettres de direction spirituelle.
Outre une analyse des textes de Hjalmar Ekström à la lumière de l´ecclésiologie de l´Église suédoise et des principales églises libres, on trouvera sa biographie et celle de ses principaux amis, ainsi qu´un portrait du grand spirituel du XVIIe siècle qui inspirait ce groupe, Jean de Bernières-Louvigny (1602-1659). Malgré la prise de distance d´Ekström à l´égard de toute institution ecclésiale, il considère que l´Église joue un rôle important sur le chemin qui mène l´homme au Christ — même s´il s´agit, selon sa belle formule, d´« un chemin sans chemins ».