"Boris Cyrulnik a beaucoup fait pour populariser le concept de « résilience », développement de la capacité des individus à surmonter les épreuves. De la souffrance la plus pénible peut naître le meilleur, suggère-t-il.
À Boisseuil, dans l’immédiate proximité de Limoges, plus de 1500 personnes ont dialogué avec Boris Cyrulnik pendant près de 3 heures. Répondant aux questions de Nicolas Martin, Antoine Spire et François Vincent, le psychiatre a accepté une confrontation publique, synthétisant une grande partie de son travail autour du thème de la transmission inter générationelle. « Il faut tout un village pour élever un enfant » aime-t-il à dire, et les anciens sont à la fois porteurs de mémoire et porteurs des lieux qui les ont vu vivre. La transmission exige, elle, des endroits pour que la parole circule et que « l’inquiétante étrangeté » du témoignage des anciens soit entendue par ceux qui leur succèdent.
Un ouvrage qui se présente comme une introduction générale à l´oeuvre de Boris Cyrulnik."
"Boris Cyrulnik a beaucoup fait pour populariser le concept de « résilience », développement de la capacité des individus à surmonter les épreuves. De la souffrance la plus pénible peut naître le meilleur, suggère-t-il.
À Boisseuil, dans l’immédiate proximité de Limoges, plus de 1500 personnes ont dialogué avec Boris Cyrulnik pendant près de 3 heures. Répondant aux questions de Nicolas Martin, Antoine Spire et François Vincent, le psychiatre a accepté une confrontation publique, synthétisant une grande partie de son travail autour du thème de la transmission inter générationelle. « Il faut tout un village pour élever un enfant » aime-t-il à dire, et les anciens sont à la fois porteurs de mémoire et porteurs des lieux qui les ont vu vivre. La transmission exige, elle, des endroits pour que la parole circule et que « l’inquiétante étrangeté » du témoignage des anciens soit entendue par ceux qui leur succèdent.
Un ouvrage qui se présente comme une introduction générale à l´oeuvre de Boris Cyrulnik."