Qui poursuit le chemin du maçon découvre d’étranges figures.
Elles se montrent dans les lauriers et dans les oliviers, dans la clef d’ivoire, dans le signe du silence, dans certains tracés. Des mythes et des symboles invitent le voyageur à expérimenter des rôles. Partager cette expérience avec d’autres, au coeur d’un Temple, là où s’écrit et se dit le Nom, permet à chacun, s’il le veut bien, de devenir le Maître que, dans la cité, il est contraint d’ignorer. Le quatrième degré, Maître Secret, est le premier des degrés pratiqués dans les Ateliers de Perfection du Rite Écossais Ancien et Accepté.
Sous sa forme actuelle, il figurait dans le Rite de Clermont en 25 degrés, antérieur au Rite Écossais Ancien et Accepté. Il est pratiqué actuellement au Rite Écossais Ancien et Accepté et au Rite Opératif et Chevaleresque de Salomon. Néanmoins, l’histoire de la Franc-Maçonnerie et plus spécialement de ses hauts grades qui fleurirent dès les premières décennies du XVIIIe siècle pour donner, dès la fin du même siècle un jardin immense et touffu, riche des essences les plus exotiques et les plus étranges, nous enseigne que les rituels ont été rédigés par des hommes sensibles aux modes intellectuelles et aussi, bien souvent, à la vanité.
Qui poursuit le chemin du maçon découvre d’étranges figures.
Elles se montrent dans les lauriers et dans les oliviers, dans la clef d’ivoire, dans le signe du silence, dans certains tracés. Des mythes et des symboles invitent le voyageur à expérimenter des rôles. Partager cette expérience avec d’autres, au coeur d’un Temple, là où s’écrit et se dit le Nom, permet à chacun, s’il le veut bien, de devenir le Maître que, dans la cité, il est contraint d’ignorer. Le quatrième degré, Maître Secret, est le premier des degrés pratiqués dans les Ateliers de Perfection du Rite Écossais Ancien et Accepté.
Sous sa forme actuelle, il figurait dans le Rite de Clermont en 25 degrés, antérieur au Rite Écossais Ancien et Accepté. Il est pratiqué actuellement au Rite Écossais Ancien et Accepté et au Rite Opératif et Chevaleresque de Salomon. Néanmoins, l’histoire de la Franc-Maçonnerie et plus spécialement de ses hauts grades qui fleurirent dès les premières décennies du XVIIIe siècle pour donner, dès la fin du même siècle un jardin immense et touffu, riche des essences les plus exotiques et les plus étranges, nous enseigne que les rituels ont été rédigés par des hommes sensibles aux modes intellectuelles et aussi, bien souvent, à la vanité.