Un des derniers textes de Cicéron, à l´influence considérable sur les auteurs anciens, aussi bien que sur les orateurs chrétiens. De Amicitia fut mainte fois traduit dans tous les pays d´Europe.
...lire la suiteDans le traité De officiis, adressé à son fils à la fin de l´année 44 av. J.-C., Cicéron (106-43) adapte et poursuit l’œuvre consacrée par le philosophe stoïcien Panétius à la question du « devoir &r ...lire la suite
"Dans ce dialogue rédigé à la fin de sa vie, quand les institutions politiques et religieuses de la république romaine sont bouleversées, Cicéron soumet à la libre discussion critique les doctrines théologiques des deux philosophies dominantes, l’épicurisme et le stoïcisme. Conformém ...lire la suite
"En citoyen philosophe, Cicéron démonte ici, avec une logique implacable, les mécanismes de la crédulité et de la superstition. Conformément aux idéaux de la cité antique, il défend la liberté de pensée face aux dieux et à l’angoisse qui paralyse. Cet ouvrage vif et ironique, qu’o ...lire la suite
Seuls les sots, affirme Cicéron, se lamentent de vieillir. À chaque âge ses vertus et ses plaisirs. Dès l´Antiquité, ce traité sur la vieillesse a connu un vif succès qui ne s´est jamais démenti au cours des siècles.
...lire la suiteLes Tusculanes définissent l´attitude du sage devant les réalités qui mettent l´âme au défi : mort, souffrance, chagrin, passion, bonheur. Il s´agit ici du livre I, le plus ample et le plus profond.
...lire la suiteLes livres II et III des Tusculanes sur la souffrance ont traversé les âges. Cette réflexion est un baume de sagesse pour notre mal de vivre. Cicéron articule ici des choses qui vont droit au coeur.
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