Ce livre nous propose de visiter, à la lumière de la philosophie pérenne, un certain nombre de « paysages » rassemblés autour des thèmes de la Nature, de la Crise sociétale, de l’Art et de la Tradition.
La Nature se révèle dès lors comme une « théophanie », ou manifestation divine, un miroir réfléchissant ici-bas le monde des archétypes. Une telle vision permet d’atteindre à la seule véritable écologie –, d’ordre spirituel.
La Crise de la société s’inscrit dans la doctrine des cycles cosmiques, qui situe notre époque dans l’ « Âge sombre », où la subversion opère un total renversement des valeurs et substitue le mondialisme à l’universalité. À ce désordre, la femme consciente de sa vocation, peut opposer le « sacrement de l’amour ».
L’Art contribue à rendre au monde son intelligibilité. L’irrépressible élan créateur, fait de joie et d’enthousiasme, explique l’abondance des œuvres les plus inspirées. La musique procède de la Vibration primordiale et se trouve en étroite corrélation avec le cosmos et l’être humain. Elle est initiation à la vie intérieure.
La Tradition relève de l’éternel Présent. À l’origine de toutes les grandes religions, elle est aussi le réceptacle d’une Connaissance « intellective », où Logos et Sophia sont un. Garante du Sacré, elle s’oppose aux déviations, aux syncrétismes sectaires, au dualisme issu d’un rationalisme responsable de la ruine de la pensée occidentale et de la réduction du christianisme à sa seule littéralité.
Par les voies de l’étonnement, de l’émerveillement et de la stupeur, la démarche spirituelle conduit à l’Évidence.
Ce livre nous propose de visiter, à la lumière de la philosophie pérenne, un certain nombre de « paysages » rassemblés autour des thèmes de la Nature, de la Crise sociétale, de l’Art et de la Tradition.
La Nature se révèle dès lors comme une « théophanie », ou manifestation divine, un miroir réfléchissant ici-bas le monde des archétypes. Une telle vision permet d’atteindre à la seule véritable écologie –, d’ordre spirituel.
La Crise de la société s’inscrit dans la doctrine des cycles cosmiques, qui situe notre époque dans l’ « Âge sombre », où la subversion opère un total renversement des valeurs et substitue le mondialisme à l’universalité. À ce désordre, la femme consciente de sa vocation, peut opposer le « sacrement de l’amour ».
L’Art contribue à rendre au monde son intelligibilité. L’irrépressible élan créateur, fait de joie et d’enthousiasme, explique l’abondance des œuvres les plus inspirées. La musique procède de la Vibration primordiale et se trouve en étroite corrélation avec le cosmos et l’être humain. Elle est initiation à la vie intérieure.
La Tradition relève de l’éternel Présent. À l’origine de toutes les grandes religions, elle est aussi le réceptacle d’une Connaissance « intellective », où Logos et Sophia sont un. Garante du Sacré, elle s’oppose aux déviations, aux syncrétismes sectaires, au dualisme issu d’un rationalisme responsable de la ruine de la pensée occidentale et de la réduction du christianisme à sa seule littéralité.
Par les voies de l’étonnement, de l’émerveillement et de la stupeur, la démarche spirituelle conduit à l’Évidence.