
 
		« De tous les Rites maçonniques qui ont, dans le  dernier tiers du XVIIIe siècle, combattu le rationalisme au nom  d´une antique tradition secrète, l´Ordre des Élus Coens est le plus  digne d´attention. Fondé par un Juif converti, mais très versé dans  la Kabbale théorique et pratique, cette société occultiste, qui fut  la première école de Louis Claude de Saint-Martin, professait un christianisme  ésotérique, apparenté de très près au Gnosticisme, et ses adeptes  évoquaient les Esprits du Surcéleste ou exorcisaient les démons par  des cérémonies spécifiquement magiques. 
« L´Ordre des Elus Coens a  joué un rôle de premier plan dans l´histoire du mouvement mystique aux approches  de la Révolution. 
« Le présent ouvrage, qui ne s´appuie que sur des  documents authentiques, étudie la secte sous tous ses aspects.  Après avoir mis en lumière ses doctrines secrètes, ses thèmes mystiques  et ses pratiques théurgiques, il en établit la filiation et remonte,  pour en trouver la source, jusqu´au Talmud, au Zohar, aux  Néoplatoniciens, aux Néopythagoriciens, aux Gnostiques et aux  occultistes de la Renaissance. Il retrace enfin l´histoire de la  société, tant comme groupement mystique que comme Rite maçonnique, et  dessine le portrait des adeptes les plus représentatifs. - 4 tableaux  insérés dans le texte reconstituent les graphiques secrets et les  tracés des opérations magiques. » (Bibliotheca Esoterica 2563). 
«  Tout ce qui est proprement historique est fort bien fait et appuyé sur  une étude très sérieuse des documents que l´auteur a pu avoir à sa  disposition, et nous ne saurions trop en recommander la lecture. » 
«  La première partie est une excellente vue d´ensemble sur le contenu du  Traité de la Réintégration des Êtres […] ; il n´était pas facile de  tirer de là un exposé cohérent, et il faut louer M. Le Forestier d´y  être parvenu. […] M. Le Forestier a raison de parler à ce propos de  "Christianisme ésotérique" » et « tout à fait raison de voir dans  l´expression "forme glorieuse", employée fréquemment par Martines, et  où "glorieuse" est en quelque sorte synonyme de "lumineuse", une  allusion à la Shekinah… » 
(Extraits du long compte rendu que  René Guénon publia dans le n° de décembre 1929 du Voile d´Isis sous  le titre "Un nouveau livre sur l´Ordre des Élus Coëns".) 

« De tous les Rites maçonniques qui ont, dans le  dernier tiers du XVIIIe siècle, combattu le rationalisme au nom  d´une antique tradition secrète, l´Ordre des Élus Coens est le plus  digne d´attention. Fondé par un Juif converti, mais très versé dans  la Kabbale théorique et pratique, cette société occultiste, qui fut  la première école de Louis Claude de Saint-Martin, professait un christianisme  ésotérique, apparenté de très près au Gnosticisme, et ses adeptes  évoquaient les Esprits du Surcéleste ou exorcisaient les démons par  des cérémonies spécifiquement magiques. 
« L´Ordre des Elus Coens a  joué un rôle de premier plan dans l´histoire du mouvement mystique aux approches  de la Révolution. 
« Le présent ouvrage, qui ne s´appuie que sur des  documents authentiques, étudie la secte sous tous ses aspects.  Après avoir mis en lumière ses doctrines secrètes, ses thèmes mystiques  et ses pratiques théurgiques, il en établit la filiation et remonte,  pour en trouver la source, jusqu´au Talmud, au Zohar, aux  Néoplatoniciens, aux Néopythagoriciens, aux Gnostiques et aux  occultistes de la Renaissance. Il retrace enfin l´histoire de la  société, tant comme groupement mystique que comme Rite maçonnique, et  dessine le portrait des adeptes les plus représentatifs. - 4 tableaux  insérés dans le texte reconstituent les graphiques secrets et les  tracés des opérations magiques. » (Bibliotheca Esoterica 2563). 
«  Tout ce qui est proprement historique est fort bien fait et appuyé sur  une étude très sérieuse des documents que l´auteur a pu avoir à sa  disposition, et nous ne saurions trop en recommander la lecture. » 
«  La première partie est une excellente vue d´ensemble sur le contenu du  Traité de la Réintégration des Êtres […] ; il n´était pas facile de  tirer de là un exposé cohérent, et il faut louer M. Le Forestier d´y  être parvenu. […] M. Le Forestier a raison de parler à ce propos de  "Christianisme ésotérique" » et « tout à fait raison de voir dans  l´expression "forme glorieuse", employée fréquemment par Martines, et  où "glorieuse" est en quelque sorte synonyme de "lumineuse", une  allusion à la Shekinah… » 
(Extraits du long compte rendu que  René Guénon publia dans le n° de décembre 1929 du Voile d´Isis sous  le titre "Un nouveau livre sur l´Ordre des Élus Coëns".) 
