Les plus grands mystères ont toujours plané sur quelques mots du vocabulaire : Dieu, Infini, Esprit, Vie, Mort, le réel se fond en l´irréel et l´infiniment petit en l´infiniment grand.
Au cours de ces derniers siècles, la science aura dissipé des étendues de brume, éclairci des énigmes, chassé des préjugés. D´une manière générale, elle aura bousculé les frontières du savoir au-delà de ce que l´on considérait être, il y a bien des lunes, les confins de l´envisageable. Elle n´a cependant pu et ne pourra jamais, cette science, franchir les limites physiques que la loi des extrêmes lui impose.
Nous, êtres humains, nous nous trouvons condamnés à errer entre un espace-temps tributaire de la vitesse de la lumière, et les vertigineux abysses dans lesquels évoluent les plus infimes particules d´énergie quantique soupçonnable. Bref, nous demeurons prisonniers de la matière dont nous sommes faits ; elle est notre maître intransigeant qui veille à ce que nous n´outrepassions pas les bornes établies.
Un immense pactole culturel s´étale sur la nécropole de Gizeh en Egypte. Invisible aux regards et parfaitement ignoré de nos contemporains, cette découverte fait depuis peu l´objet d´études sérieuses, lesquelles pourraient remettre en question les fondements même de l´histoire que l´on nous enseigne. Il est question d´une science cachée de caractère étrange, héritage d´une civilisation lointaine dont la tradition dite « Primordiale » remonte à plus de 12 500 ans de notre ère. Au terme de 45 années de recherches, l´auteur est en mesure d´affirmer que les découvertes actuelles concernant la grande pyramide de Gizeh vont radicalement changer le monde de demain.
C´est donc une richesse considérable qui nous échoie, elle est en capacité de nous révéler une autre perception des choses.
Ces énigmatiques concepteurs ont cherché à nous sensibiliser par le caractère universel de l´œuvre qu´ils ont laissé. Ils se sont ingéniés à nous faire passer l´idée que nous ne sommes pas issus du hasard, comme certains tendraient à le supposer.
Quelles seraient les probabilités, pour que se trouvent réunis dans le volume d´un tombeau attribué à un monarque sans grande notoriété, tous les critères de la Connaissance véhiculés depuis des millénaires ? Cela devient envisageable par l´apport d´une science universelle qui nous serait venue d´ailleurs.
Quelles seraient les probabilités pour que l´espace réservé aux astres Terre - Lune se révèle identique à l´emplacement occupé par la Grande Pyramide que l´on prétend être un tombeau ? Pour que l´arc-en-ciel possède des angles de réfraction en lumière incidente en accord parfait avec les angles de bases de la Grande Pyramide ? Laquelle a une structure engendrée par les étoiles d´Orion ! Pour que la trois mille six centièmes partie de cette structure, c´est-à-dire le « mètre », ôté de la hauteur de la Grande Pyramide nous donne la Terre et son année sidérale ? Pour que la constellation d´Orion et ses 7 étoiles traditionnelles génèrent des distances d´éloignements en années lumières correspondant à la coudée pyramidale des temples antiques ? Cette coudée multipliée par les 6 jours de la création nous procure le nombre pi. Des dizaines de preuves existent alors qu´il nous est dit, que le mètre était inconnu à l´époque de la restauration de l´édifice ! Quelles seraient les probabilités pour que les trois pyramides sur le plateau de Gizeh, construites nous dit-on par « des esprits primitifs », répondent à des critères correspondant aux plus hauts indices connus de la mathématique et de la géométrie ?
Il est important que nous prenions conscience du transcendant intérêt des découvertes qui sont ici présentées. Non point pour valoriser les découvreurs, mais pour mesurer les incidences que ces révélations ne manqueront pas d´avoir dans les âges futurs.
Les plus grands mystères ont toujours plané sur quelques mots du vocabulaire : Dieu, Infini, Esprit, Vie, Mort, le réel se fond en l´irréel et l´infiniment petit en l´infiniment grand.
Au cours de ces derniers siècles, la science aura dissipé des étendues de brume, éclairci des énigmes, chassé des préjugés. D´une manière générale, elle aura bousculé les frontières du savoir au-delà de ce que l´on considérait être, il y a bien des lunes, les confins de l´envisageable. Elle n´a cependant pu et ne pourra jamais, cette science, franchir les limites physiques que la loi des extrêmes lui impose.
Nous, êtres humains, nous nous trouvons condamnés à errer entre un espace-temps tributaire de la vitesse de la lumière, et les vertigineux abysses dans lesquels évoluent les plus infimes particules d´énergie quantique soupçonnable. Bref, nous demeurons prisonniers de la matière dont nous sommes faits ; elle est notre maître intransigeant qui veille à ce que nous n´outrepassions pas les bornes établies.
Un immense pactole culturel s´étale sur la nécropole de Gizeh en Egypte. Invisible aux regards et parfaitement ignoré de nos contemporains, cette découverte fait depuis peu l´objet d´études sérieuses, lesquelles pourraient remettre en question les fondements même de l´histoire que l´on nous enseigne. Il est question d´une science cachée de caractère étrange, héritage d´une civilisation lointaine dont la tradition dite « Primordiale » remonte à plus de 12 500 ans de notre ère. Au terme de 45 années de recherches, l´auteur est en mesure d´affirmer que les découvertes actuelles concernant la grande pyramide de Gizeh vont radicalement changer le monde de demain.
C´est donc une richesse considérable qui nous échoie, elle est en capacité de nous révéler une autre perception des choses.
Ces énigmatiques concepteurs ont cherché à nous sensibiliser par le caractère universel de l´œuvre qu´ils ont laissé. Ils se sont ingéniés à nous faire passer l´idée que nous ne sommes pas issus du hasard, comme certains tendraient à le supposer.
Quelles seraient les probabilités, pour que se trouvent réunis dans le volume d´un tombeau attribué à un monarque sans grande notoriété, tous les critères de la Connaissance véhiculés depuis des millénaires ? Cela devient envisageable par l´apport d´une science universelle qui nous serait venue d´ailleurs.
Quelles seraient les probabilités pour que l´espace réservé aux astres Terre - Lune se révèle identique à l´emplacement occupé par la Grande Pyramide que l´on prétend être un tombeau ? Pour que l´arc-en-ciel possède des angles de réfraction en lumière incidente en accord parfait avec les angles de bases de la Grande Pyramide ? Laquelle a une structure engendrée par les étoiles d´Orion ! Pour que la trois mille six centièmes partie de cette structure, c´est-à-dire le « mètre », ôté de la hauteur de la Grande Pyramide nous donne la Terre et son année sidérale ? Pour que la constellation d´Orion et ses 7 étoiles traditionnelles génèrent des distances d´éloignements en années lumières correspondant à la coudée pyramidale des temples antiques ? Cette coudée multipliée par les 6 jours de la création nous procure le nombre pi. Des dizaines de preuves existent alors qu´il nous est dit, que le mètre était inconnu à l´époque de la restauration de l´édifice ! Quelles seraient les probabilités pour que les trois pyramides sur le plateau de Gizeh, construites nous dit-on par « des esprits primitifs », répondent à des critères correspondant aux plus hauts indices connus de la mathématique et de la géométrie ?
Il est important que nous prenions conscience du transcendant intérêt des découvertes qui sont ici présentées. Non point pour valoriser les découvreurs, mais pour mesurer les incidences que ces révélations ne manqueront pas d´avoir dans les âges futurs.