Quel est le point commun entre Cléopâtre, l’empereur romain Hadrien, le philosophe Plutarque, la Vierge Noire de Notre-Dame du Puy, Cagliostro, Robespierre, Bonaparte, Goethe, Novalis, Nerval ou encore Nietzsche ? Une déesse égyptienne aux multiples métamorphoses : Isis. Depuis l’ancestrale déesse Asèt (son nom égyptien que les Grecs transcrivirent en Isis), cette fresque historique montre la pérennité d’un mythe qui a hanté non seulement l’imaginaire antique, des rives du Nil jusqu’aux confins de l’Empire romain, mais aussi celui des Modernes. C’est ainsi qu’on retrouve la déesse préférée des pharaons sous les traits à peine masqués de Vierges romanes, puis dans la franc-maçonnerie et les fêtes de la Révolution, sur la proue du bateau des armoiries de Paris, et dans les multiples évocations de « l’Isis voilée » du Romantisme. Adossé à des références historiques, archéologiques et littéraires solides, cet ouvrage nous montre à quel point nous sommes encore imprégnés de cette figure idéale de la Femme salvatrice, née il y a cinq mille ans.
Enrichie d´un nouvel avant-propos, cette fresque historique traite sur quatre millénaires de la pérennité d´un mythe qui a hanté l´imaginaire antique et moderne.
Nourri de références historiques et littéraires documentées, cet ouvrage qui célèbre l´un des plus radieux visages du féminin, témoigne de nos liens avec cette figure archétypique, image de la Nature vénérée, d´une brûlante actualité.
Florence Quentin est égyptologue et essayiste. Elle est l´auteure de nombreux livres sur l´Égypte ancienne et de contributions à des ouvrages collectifs. Parmi ses publications, Le Livre des Égyptes (dir.), Robert Laffont, 2015 et Les Grandes Souveraines d´Égypte, Perrin, 2021.
Quel est le point commun entre Cléopâtre, l’empereur romain Hadrien, le philosophe Plutarque, la Vierge Noire de Notre-Dame du Puy, Cagliostro, Robespierre, Bonaparte, Goethe, Novalis, Nerval ou encore Nietzsche ? Une déesse égyptienne aux multiples métamorphoses : Isis. Depuis l’ancestrale déesse Asèt (son nom égyptien que les Grecs transcrivirent en Isis), cette fresque historique montre la pérennité d’un mythe qui a hanté non seulement l’imaginaire antique, des rives du Nil jusqu’aux confins de l’Empire romain, mais aussi celui des Modernes. C’est ainsi qu’on retrouve la déesse préférée des pharaons sous les traits à peine masqués de Vierges romanes, puis dans la franc-maçonnerie et les fêtes de la Révolution, sur la proue du bateau des armoiries de Paris, et dans les multiples évocations de « l’Isis voilée » du Romantisme. Adossé à des références historiques, archéologiques et littéraires solides, cet ouvrage nous montre à quel point nous sommes encore imprégnés de cette figure idéale de la Femme salvatrice, née il y a cinq mille ans.
Enrichie d´un nouvel avant-propos, cette fresque historique traite sur quatre millénaires de la pérennité d´un mythe qui a hanté l´imaginaire antique et moderne.
Nourri de références historiques et littéraires documentées, cet ouvrage qui célèbre l´un des plus radieux visages du féminin, témoigne de nos liens avec cette figure archétypique, image de la Nature vénérée, d´une brûlante actualité.
Florence Quentin est égyptologue et essayiste. Elle est l´auteure de nombreux livres sur l´Égypte ancienne et de contributions à des ouvrages collectifs. Parmi ses publications, Le Livre des Égyptes (dir.), Robert Laffont, 2015 et Les Grandes Souveraines d´Égypte, Perrin, 2021.