Dans Le Verseau en marche, Marilyn Ferguson nous énonce la vérité que nous ne voulons pas entendre : nous n’avons d’autre ennemi que nous-mêmes et le chaos que nous avons engendré individuellement et collectivement, en refusant de regarder ce que nous avons fait de notre corps, de notre tête, de la société et de la Terre elle-même.
Nous avons succombé au Culte des Nombres, nous nous sommes laissés emprisonner dans la toile arachnéenne
d’un matérialisme bêtifiant et dévorer par la compétition, au point d’avoir peur de ce qui ne peut ni se voir ni se mesurer.
Nous sommes désormais soumis à un modèle économique où seul ce qui génère de l’argent mérite d’être entrepris.
Dans Le Verseau en marche, Marilyn Ferguson nous énonce la vérité que nous ne voulons pas entendre : nous n’avons d’autre ennemi que nous-mêmes et le chaos que nous avons engendré individuellement et collectivement, en refusant de regarder ce que nous avons fait de notre corps, de notre tête, de la société et de la Terre elle-même.
Nous avons succombé au Culte des Nombres, nous nous sommes laissés emprisonner dans la toile arachnéenne
d’un matérialisme bêtifiant et dévorer par la compétition, au point d’avoir peur de ce qui ne peut ni se voir ni se mesurer.
Nous sommes désormais soumis à un modèle économique où seul ce qui génère de l’argent mérite d’être entrepris.