"
Après L’expérience du symbole, un Essai qui servait à poser les « germes » conceptuels de la réflexion générale entreprise, cet ouvrage est le deuxième d’un triptyque. Il concerne l’exposition du « terrain » de la réflexion : la connaissance et ses limites. Enfin, le troisième, en voie de réalisation, se présentera comme une « application » très personnelle de cette réflexion générale ; il s’intitulera Une expérience maçonnique (Essai de philisophie concrète).
Interroger la connaissance en ne la coupant pas de l’ignorance, constitue une attitude profondément actuelle. Une attitude qui trouve sa signification dès que l’homme est perçu comme étant engagé dans la quête d’un sens qui émerge de lui-même et qui se heurte au point fixe aveugle inhérent à tout esprit ouvert et tourné vers le « dedans » de soi ou vers le « dehors » du monde. Dès lors, il faut convenir que l’on ignore tout ce qui peut se trouver au-delà du « point fixe » :Y a-t-il quelque chose ou bien n’y a-t-il rien ?
Ce nouveau regard porté sur la connaissance, offre des voies pour reconsidérer la sagesse surtout quand cette dernière revendique l’accès à la liberté pour l’individu pris dans sa propre complexité et dans celle du monde."
"
Après L’expérience du symbole, un Essai qui servait à poser les « germes » conceptuels de la réflexion générale entreprise, cet ouvrage est le deuxième d’un triptyque. Il concerne l’exposition du « terrain » de la réflexion : la connaissance et ses limites. Enfin, le troisième, en voie de réalisation, se présentera comme une « application » très personnelle de cette réflexion générale ; il s’intitulera Une expérience maçonnique (Essai de philisophie concrète).
Interroger la connaissance en ne la coupant pas de l’ignorance, constitue une attitude profondément actuelle. Une attitude qui trouve sa signification dès que l’homme est perçu comme étant engagé dans la quête d’un sens qui émerge de lui-même et qui se heurte au point fixe aveugle inhérent à tout esprit ouvert et tourné vers le « dedans » de soi ou vers le « dehors » du monde. Dès lors, il faut convenir que l’on ignore tout ce qui peut se trouver au-delà du « point fixe » :Y a-t-il quelque chose ou bien n’y a-t-il rien ?
Ce nouveau regard porté sur la connaissance, offre des voies pour reconsidérer la sagesse surtout quand cette dernière revendique l’accès à la liberté pour l’individu pris dans sa propre complexité et dans celle du monde."