Le frère Antoine, Louis Chauvel, est né en 1923. Ermite troglodyte, la grotte du rocher de Roquebrune-sur-Argens l’accueille en son sein depuis quarante-neuf ans.
Moine novice cistercien à l’âge de 18 ans, le frère Antoine s’ouvrira rapidement à la spiritualité de l’Inde, où il voyagera régulièrement tout au long de sa vie.
Il est le témoignage d’une vie spirituelle et matérielle simple et profonde. Son humour décapant œuvre à bousculer nos idées reçues pour nous ouvrir à l’Éternel, l’Éternel moment présent. Habité non par la foi mais par la certitude, il partage généreusement la joie et la tranquillité qui l’habite. Son regard, vif et scintillant, marque toute personne qui vient à croiser son chemin.
Un homme du monde hors du monde, un sage parmi les sages. Mais à ces mots, le frère Antoine me corrige : « Quand les grands sages sont partis, on se rabat sur les petits », dit-il.
Qu’importe, voilà bien une rencontre que l’on n’oublie pas, un ami qui nous invite à rentrer dans la grotte du Cœur.
Le frère Antoine, Louis Chauvel, est né en 1923. Ermite troglodyte, la grotte du rocher de Roquebrune-sur-Argens l’accueille en son sein depuis quarante-neuf ans.
Moine novice cistercien à l’âge de 18 ans, le frère Antoine s’ouvrira rapidement à la spiritualité de l’Inde, où il voyagera régulièrement tout au long de sa vie.
Il est le témoignage d’une vie spirituelle et matérielle simple et profonde. Son humour décapant œuvre à bousculer nos idées reçues pour nous ouvrir à l’Éternel, l’Éternel moment présent. Habité non par la foi mais par la certitude, il partage généreusement la joie et la tranquillité qui l’habite. Son regard, vif et scintillant, marque toute personne qui vient à croiser son chemin.
Un homme du monde hors du monde, un sage parmi les sages. Mais à ces mots, le frère Antoine me corrige : « Quand les grands sages sont partis, on se rabat sur les petits », dit-il.
Qu’importe, voilà bien une rencontre que l’on n’oublie pas, un ami qui nous invite à rentrer dans la grotte du Cœur.