C’est à pied qu’Anne Le Maître aime arpenter la planète et la vie. Voyage au long cours, randonnée à la journée ou simple promenade, tout parle, tout fait sens au gré des saisons. La marche étant refuge autant qu’évasion, il n’est pas de petite expérience du monde pour qui s’offre, nez au vent, la liberté de ralentir.
À la croisée des pistes et des pensées, on écoute Blaise Pascal ou La Fontaine, s’émerveille de l’éclat de la nature, médite sur le passage du temps, assiste à la rencontre improbable d’un chevreuil ou d’une girafe, et déchiffre des siècles d’histoire dans un paysage. Parce qu’un chemin est aussi un cheminement intérieur, ce plaidoyer pour le respect du vivant conduit, par la contemplation et le lâcher-prise, à la sagesse de l’herbe avec laquelle il est urgent de renouer.
C’est à pied qu’Anne Le Maître aime arpenter la planète et la vie. Voyage au long cours, randonnée à la journée ou simple promenade, tout parle, tout fait sens au gré des saisons. La marche étant refuge autant qu’évasion, il n’est pas de petite expérience du monde pour qui s’offre, nez au vent, la liberté de ralentir.
À la croisée des pistes et des pensées, on écoute Blaise Pascal ou La Fontaine, s’émerveille de l’éclat de la nature, médite sur le passage du temps, assiste à la rencontre improbable d’un chevreuil ou d’une girafe, et déchiffre des siècles d’histoire dans un paysage. Parce qu’un chemin est aussi un cheminement intérieur, ce plaidoyer pour le respect du vivant conduit, par la contemplation et le lâcher-prise, à la sagesse de l’herbe avec laquelle il est urgent de renouer.