Paru en 1931 aux éditions Les Cahiers Libres, ce roman de Mme de Brimont dépeint des tableaux de vie du milieu aristocratique bordelais au XVIIIe siècle et dans lesquels se promènent Louis-Claude de Saint-Martin et Martinès de Pasqually.
C’est un rêve, un lien passionné entre le Philosophe inconnu et l’auteur qui se dessine tout le long de ce livre, par l’intermédiaire de Rose de Julley, son aïeule.
Ici point de théorie, d’enseignement, mais une union spirituelle puissante qui traverse les siècles reliant deux âmes soeurs au delà du temps.
« Les notes vibraient, se perdaient dans l’infini… Claude de Saint-Martin l’aborda ; il tenait une rose à l’instant cueillie, il déposa la fleur sur ses genoux. Et du frôlement de leurs doigts elle gardait le souvenir sensible. »
Devenu aujourd’hui rare, Belle Rose méritait de sortir de l’oubli. D’autant qu’il révèle des informations étonnantes sur des personnages ayant fortement marqué le microcosme initiatique : Martinès de Pasqually et Louis-Claude de Saint-Martin.
Paru en 1931 aux éditions Les Cahiers Libres, ce roman de Mme de Brimont dépeint des tableaux de vie du milieu aristocratique bordelais au XVIIIe siècle et dans lesquels se promènent Louis-Claude de Saint-Martin et Martinès de Pasqually.
C’est un rêve, un lien passionné entre le Philosophe inconnu et l’auteur qui se dessine tout le long de ce livre, par l’intermédiaire de Rose de Julley, son aïeule.
Ici point de théorie, d’enseignement, mais une union spirituelle puissante qui traverse les siècles reliant deux âmes soeurs au delà du temps.
« Les notes vibraient, se perdaient dans l’infini… Claude de Saint-Martin l’aborda ; il tenait une rose à l’instant cueillie, il déposa la fleur sur ses genoux. Et du frôlement de leurs doigts elle gardait le souvenir sensible. »
Devenu aujourd’hui rare, Belle Rose méritait de sortir de l’oubli. D’autant qu’il révèle des informations étonnantes sur des personnages ayant fortement marqué le microcosme initiatique : Martinès de Pasqually et Louis-Claude de Saint-Martin.