La première grande oeuvre littéraire de l´humanité, et un mythe fondateur des civilisations occidentales, dans une traduction versifiée qui se lit comme un roman. Stephen Mitchell restitue le souffle épique et la profondeur philosophique du plus ancien récit du Déluge, dans une langue à la fois puissante et envoûtante. « La civilisation occidentale naquit dans ce pays entre le Tigre et l´Euphrate, où Hammourabi créa son Code et où Gilgamesh fut écrit – la plus vieille histoire du monde, précédant d´un millénaire l´Iliade ou la Bible. Son héros fut un roi historique qui régna sur la cité mésopotamienne d´Uruk aux environs de 2750 av. J.-C. Dans cette épopée, il possède un ami intime, Enkidu, un homme sauvage et nu qui a été civilisé par les arcanes érotiques d´une prêtresse. A ses côtés, Gilgamesh affronte des monstres, et lorsqu´Enkidu meurt, il est inconsolable. Il entreprend un voyage désespéré afin de rencontrer le seul homme qui puisse lui dire comment échapper à la mort. » (S. Mitchell). Stephen Mitchell ressuscite la première grande œuvre littéraire de nos plus lointains ancêtres dans une version poétique et envoûtante. Au-delà de la l´affliction que ressent Gilgamesh et de sa recherche effrénée de l´immortalité lors de la perte brutale de son ami et compagnon, le lecteur contemporain ne peut qu´être ému de constater que, transposés dans les paysages monumentaux et exotiques de la Mésopotamie ancienne, ce sont bien les mêmes peurs, les mêmes désirs et les mêmes sentiments qui animaient les hommes il y a quatre mille ans. Le lecteur découvre au fil des pages le premier récit du Déluge, et nombre d´autres épisodes apparaissant dans les textes sacrés des millénaires suivants. Derrière la figure de Gilgamesh se profile celle des grands héros de l´Antiquité gréco-latine.
La première grande oeuvre littéraire de l´humanité, et un mythe fondateur des civilisations occidentales, dans une traduction versifiée qui se lit comme un roman. Stephen Mitchell restitue le souffle épique et la profondeur philosophique du plus ancien récit du Déluge, dans une langue à la fois puissante et envoûtante. « La civilisation occidentale naquit dans ce pays entre le Tigre et l´Euphrate, où Hammourabi créa son Code et où Gilgamesh fut écrit – la plus vieille histoire du monde, précédant d´un millénaire l´Iliade ou la Bible. Son héros fut un roi historique qui régna sur la cité mésopotamienne d´Uruk aux environs de 2750 av. J.-C. Dans cette épopée, il possède un ami intime, Enkidu, un homme sauvage et nu qui a été civilisé par les arcanes érotiques d´une prêtresse. A ses côtés, Gilgamesh affronte des monstres, et lorsqu´Enkidu meurt, il est inconsolable. Il entreprend un voyage désespéré afin de rencontrer le seul homme qui puisse lui dire comment échapper à la mort. » (S. Mitchell). Stephen Mitchell ressuscite la première grande œuvre littéraire de nos plus lointains ancêtres dans une version poétique et envoûtante. Au-delà de la l´affliction que ressent Gilgamesh et de sa recherche effrénée de l´immortalité lors de la perte brutale de son ami et compagnon, le lecteur contemporain ne peut qu´être ému de constater que, transposés dans les paysages monumentaux et exotiques de la Mésopotamie ancienne, ce sont bien les mêmes peurs, les mêmes désirs et les mêmes sentiments qui animaient les hommes il y a quatre mille ans. Le lecteur découvre au fil des pages le premier récit du Déluge, et nombre d´autres épisodes apparaissant dans les textes sacrés des millénaires suivants. Derrière la figure de Gilgamesh se profile celle des grands héros de l´Antiquité gréco-latine.