Alors qu´il habitait le Sud tunisien dans les années 1960, Paul André a glané patiemment au cours de ses voyages (Algérie, Tunisie, Lybie) des contes, légendes, bribes de chansons ou autres « dits » qu´il a réécrits en tenant d´être fidèle à la part d´originalité et d´authenticité des hommes et des femmes rencontrés. Les Contes des sages du désert cherchent à traduire les voix (et les voies) de ces gens simples, nomades ou sédentaires, cavaliers ou chameliers, marchands ou artisans qui, dans leurs paroles, exprimaient l´essentiel humain : joies, peurs, précarités ou désirs assumés dans le rude quotidien du désert, et aussi, au-delà des mots, ce qu´on pourrait appeler une certaine gestuelle qui, même réservée, a sa part de communication.
Alors qu´il habitait le Sud tunisien dans les années 1960, Paul André a glané patiemment au cours de ses voyages (Algérie, Tunisie, Lybie) des contes, légendes, bribes de chansons ou autres « dits » qu´il a réécrits en tenant d´être fidèle à la part d´originalité et d´authenticité des hommes et des femmes rencontrés. Les Contes des sages du désert cherchent à traduire les voix (et les voies) de ces gens simples, nomades ou sédentaires, cavaliers ou chameliers, marchands ou artisans qui, dans leurs paroles, exprimaient l´essentiel humain : joies, peurs, précarités ou désirs assumés dans le rude quotidien du désert, et aussi, au-delà des mots, ce qu´on pourrait appeler une certaine gestuelle qui, même réservée, a sa part de communication.