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MARC DES JARDINS J.F. Le Sûtra de la Mahâmâyûrî. Rituel et politique dans la chine des Tang (618-907) Librairie Eklectic

Le Sûtra de la Mahâmâyûrî. Rituel et politique dans la chine des Tang (618-907)

Auteur : MARC DES JARDINS J.F.
Editeur : Presses de l´Université Laval
Nombre de pages : 269
Date de parution : 06/12/2011
Forme : Livre ISBN : 9782763793023
PULAVAL01

NEUF habituellement en stock
Prix : 40.00€

Le sûtra de la Mahâmâyûrî (la Grande Paonne) est un écrit atypique bouddhiste qui consiste en listes de divinités indiennes et qui invoque leur aide protectrice. En cela, ce rituel ne possède pas de discours philosophique proprement bouddhiste. Par contre, ce texte très prisé a été traduit pas moins de six fois en chinois. Sa divinité principale, la Grande Paonne, fut l’objet de grands rites aux cours chinoises et japonaises du VIe jusqu’au XIIIe siècle. Cet écrit fut un modèle pour le ­nouveau genre de littérature bouddhiste des sectes ­ésotériques et tantriques. Cet essai étudie son histoire, sa pratique et sa place dans le développement de la magie et de l’ésotérisme dans le bouddhiste ainsi que les raisons de sa popularité en Chine. Une traduction française de sa dernière version chinoise datée du VIIIe siècle est ­présentée en deuxième partie.


Le sûtra de la Mahâmâyûrî (la Grande Paonne) est un écrit atypique bouddhiste qui consiste en listes de divinités indiennes et qui invoque leur aide protectrice. En cela, ce rituel ne possède pas de discours philosophique proprement bouddhiste. Par contre, ce texte très prisé a été traduit pas moins de six fois en chinois. Sa divinité principale, la Grande Paonne, fut l’objet de grands rites aux cours chinoises et japonaises du VIe jusqu’au XIIIe siècle. Cet écrit fut un modèle pour le ­nouveau genre de littérature bouddhiste des sectes ­ésotériques et tantriques. Cet essai étudie son histoire, sa pratique et sa place dans le développement de la magie et de l’ésotérisme dans le bouddhiste ainsi que les raisons de sa popularité en Chine. Une traduction française de sa dernière version chinoise datée du VIIIe siècle est ­présentée en deuxième partie.