« Ma mère n’a pas été une sainte, elle a connu la terreur de qui s’apprête à franchir le point de non-retour, mais elle est allée jusqu’au bout d’elle-même, de son humanité, de sa vérité. Et je comprends soudain qu’il ne nous est pas demandé d’être plus que nous ne sommes, d’aller plus loin que nous ne pouvons, que chacun, au moment de mourir, est dans sa vérité nue : il rencontre sa limite mais aussi tout son possible... »
Comment dire oui à la mort d’un être cher ? Au mouvement même de la vie ? Une femme assiste sa mère dans ses derniers instants. Des fenêtres s’ouvrent sur leur passé commun, leur cheminement intérieur. Malgré l’ambivalence de leurs sentiments, toutes deux se fraient un passage vers la réconciliation et l’apaisement.
« Ma mère n’a pas été une sainte, elle a connu la terreur de qui s’apprête à franchir le point de non-retour, mais elle est allée jusqu’au bout d’elle-même, de son humanité, de sa vérité. Et je comprends soudain qu’il ne nous est pas demandé d’être plus que nous ne sommes, d’aller plus loin que nous ne pouvons, que chacun, au moment de mourir, est dans sa vérité nue : il rencontre sa limite mais aussi tout son possible... »
Comment dire oui à la mort d’un être cher ? Au mouvement même de la vie ? Une femme assiste sa mère dans ses derniers instants. Des fenêtres s’ouvrent sur leur passé commun, leur cheminement intérieur. Malgré l’ambivalence de leurs sentiments, toutes deux se fraient un passage vers la réconciliation et l’apaisement.