Lucien Jerphagnon, Professeur émérite des Universités, est spécialiste de la philosophie antique et médiévale. Il a publié de nombreux ouvrages dont, en Pluriel, Histoire de la Rome antique, Les divins Césars, Les dieux ne sont jamais loin et Au bonheur des sages.
D’Héraclite à Guillaume d’Ockham, tour à tour féroce et chaleureux, hilare et navré, Lucien Jerphagnon retrace dans cet ouvrage l´histoire des grands courants et des grandes idées de la philosophie occidentale antique et médiévale. Il embrasse avec son habituelle érudition l’immense aventure de l’esprit : les origines de la philosophie, les premiers physiciens, Socrate ou la conscience dans la cité, Platon ou la politique sous l’angle de l’éternel, Aristote ou le Macédonien surdoué, les cyniques et les cyrénaïques, les épicuriens, les stoïciens, philosophes pour un monde nouveau, Plotin ou l’absolu entrevu, Augustin ou les cieux nouveaux, la scolastique ou le retour d’Aristote... Il ne s’agit pas d’une progression de la pensée siècle après siècle vers la Vérité absolue, mais davantage d’un foisonnement, d’un buissonnement touffu dont les rameaux s’emmêlent, poussant chacun vers un peu plus de lumière.
Lucien Jerphagnon, Professeur émérite des Universités, est spécialiste de la philosophie antique et médiévale. Il a publié de nombreux ouvrages dont, en Pluriel, Histoire de la Rome antique, Les divins Césars, Les dieux ne sont jamais loin et Au bonheur des sages.
D’Héraclite à Guillaume d’Ockham, tour à tour féroce et chaleureux, hilare et navré, Lucien Jerphagnon retrace dans cet ouvrage l´histoire des grands courants et des grandes idées de la philosophie occidentale antique et médiévale. Il embrasse avec son habituelle érudition l’immense aventure de l’esprit : les origines de la philosophie, les premiers physiciens, Socrate ou la conscience dans la cité, Platon ou la politique sous l’angle de l’éternel, Aristote ou le Macédonien surdoué, les cyniques et les cyrénaïques, les épicuriens, les stoïciens, philosophes pour un monde nouveau, Plotin ou l’absolu entrevu, Augustin ou les cieux nouveaux, la scolastique ou le retour d’Aristote... Il ne s’agit pas d’une progression de la pensée siècle après siècle vers la Vérité absolue, mais davantage d’un foisonnement, d’un buissonnement touffu dont les rameaux s’emmêlent, poussant chacun vers un peu plus de lumière.