L´objectif de « guérir sans nuire » conseillé par Hippocrate puis par Hahnemann ne semble plus être à l´ordre du jour de la médecine officielle depuis bien longtemps. Nous constatons d´innombrables victimes de la médecine depuis plus d´un demi-siècle, appelées par euphémisme « effets secondaires », « maladies iatrogènes » ou bien encore « maladies nosocomiales », autant d´appellations trompeuses qui donnent à croire que la cause de toutes ces maladies est soit inévitable (secondaire), soit provoquée par le médecin (iatrogène), soit par l´hôpital (nosocomiale) ; alors que la cause est bien en amont. Eh oui, toutes les observations concordent : supprimer une « maladie », entraîne très souvent la suppression de la santé (maladies chroniques) voire trop souvent la suppression du malade (les milliers de morts annuels post-thérapeutiques en sont hélas les témoins). Comme le disait Einstein : « On ne résout pas un problème en utilisant le même raisonnement qui l´a créé. » Pour un homéopathe, un malade n´est pas une addition d´un corps et d´un esprit, à laquelle on pourrait soustraire l´un des deux éléments, en le niant comme Sujet. C´est une association de ces deux éléments, permanente, irréfragable, indissociable, dans laquelle l´aspect visible (le corps-objet) et l´aspect invisible (le psychisme affectif et mental) ne sont qu´une seule et unique créature : le sujet humain.
L´objectif de « guérir sans nuire » conseillé par Hippocrate puis par Hahnemann ne semble plus être à l´ordre du jour de la médecine officielle depuis bien longtemps. Nous constatons d´innombrables victimes de la médecine depuis plus d´un demi-siècle, appelées par euphémisme « effets secondaires », « maladies iatrogènes » ou bien encore « maladies nosocomiales », autant d´appellations trompeuses qui donnent à croire que la cause de toutes ces maladies est soit inévitable (secondaire), soit provoquée par le médecin (iatrogène), soit par l´hôpital (nosocomiale) ; alors que la cause est bien en amont. Eh oui, toutes les observations concordent : supprimer une « maladie », entraîne très souvent la suppression de la santé (maladies chroniques) voire trop souvent la suppression du malade (les milliers de morts annuels post-thérapeutiques en sont hélas les témoins). Comme le disait Einstein : « On ne résout pas un problème en utilisant le même raisonnement qui l´a créé. » Pour un homéopathe, un malade n´est pas une addition d´un corps et d´un esprit, à laquelle on pourrait soustraire l´un des deux éléments, en le niant comme Sujet. C´est une association de ces deux éléments, permanente, irréfragable, indissociable, dans laquelle l´aspect visible (le corps-objet) et l´aspect invisible (le psychisme affectif et mental) ne sont qu´une seule et unique créature : le sujet humain.