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LELOUP Jean-Yves Le philosophe et le djihadiste Librairie Eklectic

Le philosophe et le djihadiste

Auteur : LELOUP Jean-Yves
Editeur : PRESSES du ChÂtelet
Nombre de pages : 185
Date de parution : 18/05/2016
Forme : Livre ISBN : 9782845926462
PDC04

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 16.00€

Début des années 90. Mohammed, un jeune Marocain, affirme avoir reçu d’Allah la mission de détruire la chapelle Sixtine et de purifier Rome de tous les « idolâtres ».
Alerté par la sœur du terroriste, Jean-Yves Leloup, entre en relation avec lui pour le convaincre de renoncer à son projet. Il est alors pris en otage par le jeune homme, ceint d’explosifs, décidé à aller jusqu’au bout… Mais la police n’est pas loin.
Dialogue entre un djihadiste et un philosophe, ce récit est fondé sur une histoire vraie.
Il pose des questions fondamentales sur l’inspiration et l’interprétation du Coran ; mais aussi sur le nihilisme et les perversions narcissiques animant les prétendus « religieux » qui, au nom de Dieu, expriment leur haine et leur ressentiment. Il nous avertit encore de ce qui peut arriver quand l’iconoclasme et le goût du néant l’emportent sur le respect et la mémoire des monuments qui éclairent de leur diversité notre humanité une et précairement « civilisée ».


Début des années 90. Mohammed, un jeune Marocain, affirme avoir reçu d’Allah la mission de détruire la chapelle Sixtine et de purifier Rome de tous les « idolâtres ».
Alerté par la sœur du terroriste, Jean-Yves Leloup, entre en relation avec lui pour le convaincre de renoncer à son projet. Il est alors pris en otage par le jeune homme, ceint d’explosifs, décidé à aller jusqu’au bout… Mais la police n’est pas loin.
Dialogue entre un djihadiste et un philosophe, ce récit est fondé sur une histoire vraie.
Il pose des questions fondamentales sur l’inspiration et l’interprétation du Coran ; mais aussi sur le nihilisme et les perversions narcissiques animant les prétendus « religieux » qui, au nom de Dieu, expriment leur haine et leur ressentiment. Il nous avertit encore de ce qui peut arriver quand l’iconoclasme et le goût du néant l’emportent sur le respect et la mémoire des monuments qui éclairent de leur diversité notre humanité une et précairement « civilisée ».