Ce recueil témoigne d’un double ancrage : dans la phénoménologie de la vie de Michel Henry et dans la tradition zen. En confrontant ces deux pensées d’apparence si éloignées, nous espérons montrer la fécondité d’une mise en relation de ce que nous considérons comme deux approches philosophiques radicales de la réalité humaine sise dans la vie qui la porte et constitue son origine absolue.
Au sein d’une tradition universitaire occidentale repliée sur sa propre histoire, nous lisons chez Michel Henry les catégories capables d’établir ― comme on a pu le dire à propos de Maître Eckhart ― une possible lecture croisée entre deux formes d’exploration rigoureuses de la subjectivité qui partagent la même défiance des structures de la mondanité. Cet ensemble est complété par un examen particulier des thèmes du souffrir et de celui du langage qui est cœur de toute réflexion philosophique soucieuse de sa propre condition.
Ce recueil témoigne d’un double ancrage : dans la phénoménologie de la vie de Michel Henry et dans la tradition zen. En confrontant ces deux pensées d’apparence si éloignées, nous espérons montrer la fécondité d’une mise en relation de ce que nous considérons comme deux approches philosophiques radicales de la réalité humaine sise dans la vie qui la porte et constitue son origine absolue.
Au sein d’une tradition universitaire occidentale repliée sur sa propre histoire, nous lisons chez Michel Henry les catégories capables d’établir ― comme on a pu le dire à propos de Maître Eckhart ― une possible lecture croisée entre deux formes d’exploration rigoureuses de la subjectivité qui partagent la même défiance des structures de la mondanité. Cet ensemble est complété par un examen particulier des thèmes du souffrir et de celui du langage qui est cœur de toute réflexion philosophique soucieuse de sa propre condition.