Terre-mère, homicide volontaire : entretiens avec Jacques Olivier Durand
"Dans cet ouvrage, Terre-Mère, homicide volontaire, qui se présente sous la forme d’entretiens (avec Jacques Olivier Durand), Pierre Rabhi donne sa définition de ce qu’est la terre : « notre premier estomac ».
Il y décrit les menaces qui la mettent en péril : les changements d’habitudes alimentaires, la civilisation de la combustion, l’agriculture productiviste, la surconsommation... et surtout l’homme lui-même... Il présente les différents choix qui s’offrent à nous : entre développement durable ou développement différent, entre croissance ou décroissance...
Il revisite les notions de progrès, de travail, d’économie, d’écologie...
Et malgré la gravité de l’actuelle situation, il voit aujourd’hui « des raisons d’espérer » dans l’éveil des consciences qui partout dans le monde annonce une transformation des mentalités.
Mais il ne se contente pas d’énumérer des recettes, et encourage la nécessité pour chaque individu à changer de comportement face à la nature et face à soi-même, parce que notre lien à la terre est intime et vital. Parce que notre responsabilité à l’égard de nous-mêmes et de nos semblables inclut la responsabilité à l’égard de « ce phénomène extraordinaire qu’on appelle la vie ».
Il dit sa foi en l’éducation, au décloisonnement des générations, à la place des femmes...pour « remettre les pieds sur terre » et tendre vers « une sobriété heureuse ».
Et nous engage surtout à « re-spiritualiser la nature, pour redonner un sens à la vie ».
Le premier argument de cet ouvrage est son auteur lui-même, Pierre Rabhi.
La voix de cet agro-écologue est reconnue et écoutée dans le monde entier. Le mouvement qu’il a créé, Terre et Humanisme, a aujourd’hui des ramifications sur cinq continents. Parmi ses nombreux ouvrages, certains sont de vrais succès de librairie. Dans l’actuel (et éphémère) consensus ambiant sur l’environnement et l’écologie, la parole de Pierre Rabhi est singulière et constante. Il s’attache essentiellement, depuis 40 ans, à dénoncer le pillage organisé de notre bien commun, la terre, par une aveugle course à la productivité et à la consommation et à proposer des solutions concrètes et adaptées."
"Dans cet ouvrage, Terre-Mère, homicide volontaire, qui se présente sous la forme d’entretiens (avec Jacques Olivier Durand), Pierre Rabhi donne sa définition de ce qu’est la terre : « notre premier estomac ».
Il y décrit les menaces qui la mettent en péril : les changements d’habitudes alimentaires, la civilisation de la combustion, l’agriculture productiviste, la surconsommation... et surtout l’homme lui-même... Il présente les différents choix qui s’offrent à nous : entre développement durable ou développement différent, entre croissance ou décroissance...
Il revisite les notions de progrès, de travail, d’économie, d’écologie...
Et malgré la gravité de l’actuelle situation, il voit aujourd’hui « des raisons d’espérer » dans l’éveil des consciences qui partout dans le monde annonce une transformation des mentalités.
Mais il ne se contente pas d’énumérer des recettes, et encourage la nécessité pour chaque individu à changer de comportement face à la nature et face à soi-même, parce que notre lien à la terre est intime et vital. Parce que notre responsabilité à l’égard de nous-mêmes et de nos semblables inclut la responsabilité à l’égard de « ce phénomène extraordinaire qu’on appelle la vie ».
Il dit sa foi en l’éducation, au décloisonnement des générations, à la place des femmes...pour « remettre les pieds sur terre » et tendre vers « une sobriété heureuse ».
Et nous engage surtout à « re-spiritualiser la nature, pour redonner un sens à la vie ».
Le premier argument de cet ouvrage est son auteur lui-même, Pierre Rabhi.
La voix de cet agro-écologue est reconnue et écoutée dans le monde entier. Le mouvement qu’il a créé, Terre et Humanisme, a aujourd’hui des ramifications sur cinq continents. Parmi ses nombreux ouvrages, certains sont de vrais succès de librairie. Dans l’actuel (et éphémère) consensus ambiant sur l’environnement et l’écologie, la parole de Pierre Rabhi est singulière et constante. Il s’attache essentiellement, depuis 40 ans, à dénoncer le pillage organisé de notre bien commun, la terre, par une aveugle course à la productivité et à la consommation et à proposer des solutions concrètes et adaptées."