Le nom de Baphomet évoque le plus souvent, chez nos contemporains, une tête effrayante, cornue et barbue qui ressemble beaucoup à l’image populaire du Diable, et qui est entourée d’histoires et de mystère.
Chacun sait que la figure appelée Baphomet est liée à l’histoire des Templiers, et plus spécialement au procès arrangé pour justifier leur condamnation. Pourtant, « l’idole » ou « la tête magique » que les Frères ont été accusés d’adorer n’avait alors pas de nom (elle a été désignée une seule fois « in figuram baffometi ») ; qui plus est, ceux qui avouèrent, sous la menace ou la torture, qu’ils l’avaient vue et même touchée, l’ont dépeinte de manières très variées et souvent fantasques.
En outre, ces Frères n’ont pas su témoigner plus clairement de ses pouvoirs et de sa fonction dans les chapitres où ils ont affirmé qu’elle officiait. Et même, aucune sorte de Baphomet n’a pu effectivement être présentée comme pièce à conviction.
Plus tard, on a bien trouvé dans les archives du Vatican, dans la Règle Secrète des Templiers, un rituel du Baphomet, mais celui-ci semble avoir été ignoré par les inquisiteurs.
Il faut donc préciser que les figures appelées de nos jours des Baphomets sont, en fait, des représentations ultérieures au procès.
Si les descriptions du Baphomet sont multiples et énigmatiques, les hypothèses sur l’origine de son nom le sont tout autant, mais elles prennent les apparences d’une sorte de rébus pour nous éclairer sur l’étendue de sa signification ésotérique et alchimique.
Ainsi, le Baphomet nous ramène à la recherche de la Connaissance suprême, qui s’appelle également quête du Graal ou du secretum templi.
Les auteurs Jean Chopitel et Christiane Gobry sont initiés en Chevalerie chrétienne.
Le nom de Baphomet évoque le plus souvent, chez nos contemporains, une tête effrayante, cornue et barbue qui ressemble beaucoup à l’image populaire du Diable, et qui est entourée d’histoires et de mystère.
Chacun sait que la figure appelée Baphomet est liée à l’histoire des Templiers, et plus spécialement au procès arrangé pour justifier leur condamnation. Pourtant, « l’idole » ou « la tête magique » que les Frères ont été accusés d’adorer n’avait alors pas de nom (elle a été désignée une seule fois « in figuram baffometi ») ; qui plus est, ceux qui avouèrent, sous la menace ou la torture, qu’ils l’avaient vue et même touchée, l’ont dépeinte de manières très variées et souvent fantasques.
En outre, ces Frères n’ont pas su témoigner plus clairement de ses pouvoirs et de sa fonction dans les chapitres où ils ont affirmé qu’elle officiait. Et même, aucune sorte de Baphomet n’a pu effectivement être présentée comme pièce à conviction.
Plus tard, on a bien trouvé dans les archives du Vatican, dans la Règle Secrète des Templiers, un rituel du Baphomet, mais celui-ci semble avoir été ignoré par les inquisiteurs.
Il faut donc préciser que les figures appelées de nos jours des Baphomets sont, en fait, des représentations ultérieures au procès.
Si les descriptions du Baphomet sont multiples et énigmatiques, les hypothèses sur l’origine de son nom le sont tout autant, mais elles prennent les apparences d’une sorte de rébus pour nous éclairer sur l’étendue de sa signification ésotérique et alchimique.
Ainsi, le Baphomet nous ramène à la recherche de la Connaissance suprême, qui s’appelle également quête du Graal ou du secretum templi.
Les auteurs Jean Chopitel et Christiane Gobry sont initiés en Chevalerie chrétienne.