L’origine de la géomancie plonge ses racines dans la préhistoire et dans les cultes très anciens à la déesse mère nommée par les grecs GÉ.
Aussi loin que l’on puisse remonter dans l’histoire chinoise, la géomancie n’a cessé d’être pratiquée sous la forme du Yi King, Mao Tsé Dong lui-même l’utilisait. Longtemps et injustement oubliée en Occident qui en possède pourtant une des formes les plus raffinées, le système des seize figures étudié dans le présent ouvrage, elle reste à côté de son utilisation divinatoire un support incontournable et un sujet de méditation sur le monde.
La géomancie, telle que nous la présentons ici et comme Henri Coton-Alvart l’a définie dans son ouvrage "Les deux Lumières", constitue une des clés majeures de la tradition et de la pensée hermétique : « La géomancie n’est pas seulement un art divinatoire remarquable, mais elle est le guide détaillé, véridique et logique de l’opération et de la doctrine cachées sous le nom de Grand Oeuvre », a écrit ce dernier.
L’origine de la géomancie plonge ses racines dans la préhistoire et dans les cultes très anciens à la déesse mère nommée par les grecs GÉ.
Aussi loin que l’on puisse remonter dans l’histoire chinoise, la géomancie n’a cessé d’être pratiquée sous la forme du Yi King, Mao Tsé Dong lui-même l’utilisait. Longtemps et injustement oubliée en Occident qui en possède pourtant une des formes les plus raffinées, le système des seize figures étudié dans le présent ouvrage, elle reste à côté de son utilisation divinatoire un support incontournable et un sujet de méditation sur le monde.
La géomancie, telle que nous la présentons ici et comme Henri Coton-Alvart l’a définie dans son ouvrage "Les deux Lumières", constitue une des clés majeures de la tradition et de la pensée hermétique : « La géomancie n’est pas seulement un art divinatoire remarquable, mais elle est le guide détaillé, véridique et logique de l’opération et de la doctrine cachées sous le nom de Grand Oeuvre », a écrit ce dernier.