Depuis l’Antiquité, l’Âme du monde constitue une figure majestueuse des courants philosophiques et spirituels. Après Platon qui, dans le Timée, décrit le monde comme possèdant une âme qui a pour principale fonction de justifier les mouvements régulier des corps célestes, puis les stoïciens, qui identifieront l’Âme du monde à la divinité elle-même, ce fut au tour des néoplatoniciens, des alchimistes de la Renaissance, des philosophes romantiques et des métaphysiciens de l’Orient d’attribuer à l’Âme une fonction essentielle dans l’ordonnancement du cosmos et des êtres.
Retrouver aujourd’hui le sens et les chemins de l’Âme du monde apparaît, aux yeux de toute une lignée de poètes, de visionnaires, d’artistes, de scientifiques, de philosophes, comme une exigence spirituelle, une nécessité morale, un impératif de survie.
Depuis l’Antiquité, l’Âme du monde constitue une figure majestueuse des courants philosophiques et spirituels. Après Platon qui, dans le Timée, décrit le monde comme possèdant une âme qui a pour principale fonction de justifier les mouvements régulier des corps célestes, puis les stoïciens, qui identifieront l’Âme du monde à la divinité elle-même, ce fut au tour des néoplatoniciens, des alchimistes de la Renaissance, des philosophes romantiques et des métaphysiciens de l’Orient d’attribuer à l’Âme une fonction essentielle dans l’ordonnancement du cosmos et des êtres.
Retrouver aujourd’hui le sens et les chemins de l’Âme du monde apparaît, aux yeux de toute une lignée de poètes, de visionnaires, d’artistes, de scientifiques, de philosophes, comme une exigence spirituelle, une nécessité morale, un impératif de survie.