Carl Gustav Jung fut le collaborateur de Freud dans l’élaboration de la pensée psychanalytique de 1906 à 1912 date de leur rupture. Celle-ci occasionna une fracture durable dans le mouvement analytique. En contrepoint de la théorie sexuelle des névroses élaborée par Freud, Jung proposait d’autres paradigmes : l’importance de l’attachement archaïque à la mère, la nécessité du sacrifice volontaire des attachements infantiles plutôt qu’une castration subie et acceptée, la persona, le Moi, l’ombre, l’anima/animus, le Soi.
Il élargissait ainsi la vision d’un inconscient personnel aux dimensions d’un inconscient « collectif », dépositaire de structures inconscientes, communes à l’humanité, présidant au développement de l’intelligence, de l’affectivité, des cultures.
L’oeuvre est foisonnante, chargée de références mythologiques, traditionnelles, symboliques, historiques, jusque dans l’étude de la tradition alchimique européenne.
Carl Gustav Jung fut le collaborateur de Freud dans l’élaboration de la pensée psychanalytique de 1906 à 1912 date de leur rupture. Celle-ci occasionna une fracture durable dans le mouvement analytique. En contrepoint de la théorie sexuelle des névroses élaborée par Freud, Jung proposait d’autres paradigmes : l’importance de l’attachement archaïque à la mère, la nécessité du sacrifice volontaire des attachements infantiles plutôt qu’une castration subie et acceptée, la persona, le Moi, l’ombre, l’anima/animus, le Soi.
Il élargissait ainsi la vision d’un inconscient personnel aux dimensions d’un inconscient « collectif », dépositaire de structures inconscientes, communes à l’humanité, présidant au développement de l’intelligence, de l’affectivité, des cultures.
L’oeuvre est foisonnante, chargée de références mythologiques, traditionnelles, symboliques, historiques, jusque dans l’étude de la tradition alchimique européenne.