L’œuvre de Matgioï révèle un trésor, les arcanes du Yiking, texte fondamental de l’ésotérisme chinois, rédigé par l’énigmatique empereur Fohi trois mille sept ans avant notre ère.
Premier monument de la Connaissance, le Yiking est la source de l’enseignement taoïste. Les « graphiques de Dieu » donnent accès à la tradition primordiale qui fut dévoilée à Matgioï (« Œil du jour » en tonkinois), né Albert de Puyou, comte de Pouvourville.
Cet accès direct à la sagesse de l’Orient demeure irremplaçable.
L’œuvre de Matgioï révèle un trésor, les arcanes du Yiking, texte fondamental de l’ésotérisme chinois, rédigé par l’énigmatique empereur Fohi trois mille sept ans avant notre ère.
Premier monument de la Connaissance, le Yiking est la source de l’enseignement taoïste. Les « graphiques de Dieu » donnent accès à la tradition primordiale qui fut dévoilée à Matgioï (« Œil du jour » en tonkinois), né Albert de Puyou, comte de Pouvourville.
Cet accès direct à la sagesse de l’Orient demeure irremplaçable.