Mauro Biglino, traducteur sans dogme de la Bible telle qu’elle est transcrite dans le Codex de Leningrad, nous livre là, mot après mot, phrase après phrase, ce qui fut réellement décrit par les témoins des événements sur notre planète il y a des milliers d’années. Il est temps que les mots parlent.
La Bible évoque-t-elle vraiment la création du Ciel et de la Terre, ou, dès le premier verset de la Genèse, nous raconte-t-elle une autre histoire ?
La Bible parle-t-elle de génie génétique ?
Pour créer Ève, les Elohim ont-ils pratiqué une intervention chirurgicale ?
A-t-on vraiment pris une côte à Adam ?
Adam et Ève sont-ils vraiment les ancêtres de l’humanité ?
Le kevod et le ruach étaient-ils réellement la « gloire » et « l’esprit », ou s’agissait-il plutôt de moyens technologiques ?
Pourquoi l’or des juifs intéressait-il Yahvé et Moïse ?
La Bible a-t-elle écrit « gloire du Seigneur » pour désigner ce qui se cache dans la « nuée » qui plane au-dessus du désert, visible de tout le peuple de Moïse ? Non, le texte hébreu évoque un « objet lourd volant ».
Les « chérubins » sont-ils bien ces angelots que nous décrit le texte biblique ? À aucun moment. Le texte hébraïque parle à leur propos d’une « arme » capable de brûler celui qui s’approche de « l’Arche », ou, en un autre contexte, de « machines volantes ».
Yahvé a-t-il, « au commencement », « créé » le Ciel et la Terre ? Grammaticalement, syntaxiquement, sémantiquement, non ! Le mot hébreu bara, « fabriquer », ne renvoie à aucune espèce de miracle divin ni à un univers créé à partir de « rien ». Dès lors, « créer » l’homme, au pied de la lettre hébraïque, ressemble fort à une « opération » au sens chirurgical, non pas à un acte divin.
Vous découvrirez comment ce qui est considéré et présenté comme la volonté de Dieu par excellence, la « création à partir de rien », se limite à l’une des nombreuses interventions techniques et résolument matérielles entreprises par ces individus nommés Elohim.
Mauro Biglino, traducteur sans dogme de la Bible telle qu’elle est transcrite dans le Codex de Leningrad, nous livre là, mot après mot, phrase après phrase, ce qui fut réellement décrit par les témoins des événements sur notre planète il y a des milliers d’années. Il est temps que les mots parlent.
La Bible évoque-t-elle vraiment la création du Ciel et de la Terre, ou, dès le premier verset de la Genèse, nous raconte-t-elle une autre histoire ?
La Bible parle-t-elle de génie génétique ?
Pour créer Ève, les Elohim ont-ils pratiqué une intervention chirurgicale ?
A-t-on vraiment pris une côte à Adam ?
Adam et Ève sont-ils vraiment les ancêtres de l’humanité ?
Le kevod et le ruach étaient-ils réellement la « gloire » et « l’esprit », ou s’agissait-il plutôt de moyens technologiques ?
Pourquoi l’or des juifs intéressait-il Yahvé et Moïse ?
La Bible a-t-elle écrit « gloire du Seigneur » pour désigner ce qui se cache dans la « nuée » qui plane au-dessus du désert, visible de tout le peuple de Moïse ? Non, le texte hébreu évoque un « objet lourd volant ».
Les « chérubins » sont-ils bien ces angelots que nous décrit le texte biblique ? À aucun moment. Le texte hébraïque parle à leur propos d’une « arme » capable de brûler celui qui s’approche de « l’Arche », ou, en un autre contexte, de « machines volantes ».
Yahvé a-t-il, « au commencement », « créé » le Ciel et la Terre ? Grammaticalement, syntaxiquement, sémantiquement, non ! Le mot hébreu bara, « fabriquer », ne renvoie à aucune espèce de miracle divin ni à un univers créé à partir de « rien ». Dès lors, « créer » l’homme, au pied de la lettre hébraïque, ressemble fort à une « opération » au sens chirurgical, non pas à un acte divin.
Vous découvrirez comment ce qui est considéré et présenté comme la volonté de Dieu par excellence, la « création à partir de rien », se limite à l’une des nombreuses interventions techniques et résolument matérielles entreprises par ces individus nommés Elohim.