L’unique avantage que je me propose de retirer de cet Ouvrage, est d’être utile au Public, en déterrant, pour ainsi dire, ces rares trésors ensevelis avec leur auteur, trésors dont la perte causait un regret sensible aux personnes sages et charitables, attendu que ce grand homme n’avait pas mis au jour ce qui lui avait acquis si justement une si grande réputation.
Car encore une fois, tout ce qui a paru jusqu’ici sous son nom, sont des lambeaux imparfaits qui ne peuvent satisfaire un homme sensé. Il faut en quelque forte s’en rapporter à la bonne foi de ceux qui nous distribuent les remèdes, ce qui n’est pas raisonnable, et qui empêche Messieurs les Médecins de s’en servir pour leurs malades.
Mais il en sera tout autrement lorsqu’ils seront sûrs d’employer les véritables Remèdes de M. de Grimaldy. Je déclare que je ne veux ni être connu, ni vendre, ni débiter ces excellents Remèdes, comptant avoir rempli mes vues en donnant au Public les véritables productions de ce célèbre Médecin.
Car quand il serait possible qu’on me déterrât dans le fond de mon cabinet et de mon laboratoire, ou un goût déterminé pour l’étude de la nature et de la science spagyrique me fait passer une partie de mon temps, je ne donnerai pas même à mes meilleurs amis aucuns de ces remèdes, sans que je sois pleinement convaincu que la personne qui veut s’en servir, le fait par l’avis et sous les yeux d’un Médecin.
L’unique avantage que je me propose de retirer de cet Ouvrage, est d’être utile au Public, en déterrant, pour ainsi dire, ces rares trésors ensevelis avec leur auteur, trésors dont la perte causait un regret sensible aux personnes sages et charitables, attendu que ce grand homme n’avait pas mis au jour ce qui lui avait acquis si justement une si grande réputation.
Car encore une fois, tout ce qui a paru jusqu’ici sous son nom, sont des lambeaux imparfaits qui ne peuvent satisfaire un homme sensé. Il faut en quelque forte s’en rapporter à la bonne foi de ceux qui nous distribuent les remèdes, ce qui n’est pas raisonnable, et qui empêche Messieurs les Médecins de s’en servir pour leurs malades.
Mais il en sera tout autrement lorsqu’ils seront sûrs d’employer les véritables Remèdes de M. de Grimaldy. Je déclare que je ne veux ni être connu, ni vendre, ni débiter ces excellents Remèdes, comptant avoir rempli mes vues en donnant au Public les véritables productions de ce célèbre Médecin.
Car quand il serait possible qu’on me déterrât dans le fond de mon cabinet et de mon laboratoire, ou un goût déterminé pour l’étude de la nature et de la science spagyrique me fait passer une partie de mon temps, je ne donnerai pas même à mes meilleurs amis aucuns de ces remèdes, sans que je sois pleinement convaincu que la personne qui veut s’en servir, le fait par l’avis et sous les yeux d’un Médecin.