La peau est magique. Elle se répare d’elle-même quand une branche l’a entaillée. Elle est en contact avec la terre-mère, l’eau, les vents et elle se réchauffe sous la flamme du feu. Elle porte également en elle le support de signes et de messages, objets de rites et de cultes, devenue symbole elle-même pour le « croyant » ou le « cherchant », la peau nous livre à mots couverts les états spirituels de l’homme, osant même se faire idole quand la spiritualité s’étiole.
Des tatouages aux rites sur la peau, du toucher guérisseur à l’étreinte sacrée, des mythes anciens à la peau de l’initié, et jusqu’à la peau devenue idole quand la religion s’étiole.
La peau est magique. Elle se répare d’elle-même quand une branche l’a entaillée. Elle est en contact avec la terre-mère, l’eau, les vents et elle se réchauffe sous la flamme du feu. Elle porte également en elle le support de signes et de messages, objets de rites et de cultes, devenue symbole elle-même pour le « croyant » ou le « cherchant », la peau nous livre à mots couverts les états spirituels de l’homme, osant même se faire idole quand la spiritualité s’étiole.
Des tatouages aux rites sur la peau, du toucher guérisseur à l’étreinte sacrée, des mythes anciens à la peau de l’initié, et jusqu’à la peau devenue idole quand la religion s’étiole.