L’écoféminisme est une philosophie, une éthique et un mouvement né de la conjonction des deux « surgissements du
monde moderne » que sont l’écologie et le féminisme. Ce nouveau concept opère la synthèse entre l’idée d’une double
exploitation : celle de la nature par l’homme et celle de la femme par l’homme.
Dans cet ouvrage initialement paru en 1978, mais d’une actualité brûlante, l’auteure remet radicalement en question la
notion de croissance, économique et démographique, dénonçant le capitalisme comme stade ultime du patriarcat.
La surpopulation et l’épuisement des ressources illustrent l’« illimitisme » caractéristique de ce qu’elle nomme le
« système mâle », et elle est l’une des premières à affirmer qu’il faut préserver ce qui reste encore de l’environnement,
sous peine de mort. Dans ce combat universel, les femmes, fortes de leur longue expérience d’exploitation, ont un rôle
déterminant à jouer.
L’écoféminisme est une philosophie, une éthique et un mouvement né de la conjonction des deux « surgissements du
monde moderne » que sont l’écologie et le féminisme. Ce nouveau concept opère la synthèse entre l’idée d’une double
exploitation : celle de la nature par l’homme et celle de la femme par l’homme.
Dans cet ouvrage initialement paru en 1978, mais d’une actualité brûlante, l’auteure remet radicalement en question la
notion de croissance, économique et démographique, dénonçant le capitalisme comme stade ultime du patriarcat.
La surpopulation et l’épuisement des ressources illustrent l’« illimitisme » caractéristique de ce qu’elle nomme le
« système mâle », et elle est l’une des premières à affirmer qu’il faut préserver ce qui reste encore de l’environnement,
sous peine de mort. Dans ce combat universel, les femmes, fortes de leur longue expérience d’exploitation, ont un rôle
déterminant à jouer.