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- Eucharistia. Chants de la liturgie orthodoxe en français (L´ensemble : Harmonie Grégorienne, sous la direction de : Nana Peradze)  Librairie Eklectic

Eucharistia. Chants de la liturgie orthodoxe en français (L´ensemble : Harmonie Grégorienne, sous la direction de : Nana Peradze)

Auteur : -
Editeur : JADE MUSIC
Nombre de pages : 0
Date de parution : 22/05/2013
Forme : CD audio ISBN :
JADEMUSIC02

NEUF habituellement en stock
Prix : 18.50€

Le chant liturgique orthodoxe en français.

L’une des caractéristiques du chant liturgique orthodoxe est qu’il ne comporte pas d’accompagnement musical et est donc purement vocal ou a capella.

Le chant est composé de l’union d’un texte et d’une mélodie. Selon la tradition orthodoxe, si les deux contribuent à la prière et à la célébration de la gloire de Dieu, la mélodie doit être au service du texte et non l’inverse.

L’interprétation doit être sobre, éviter tout caractère passionné, tout sentimentalisme et tout effet de type artistique. Les chanteurs ne doivent pas mettre en avant leur personnalité et leur talent afin d’avoir l’humilité nécessaire pour représenter le peuple qui, dans les Églises orthodoxes, ne chante pas.

En ce qui concerne le texte, il y a dans le monde orthodoxe, en dehors de quelques idiômes comme le géorgien et du latin (qui n’est plus utilisé qu’en de rares ciconstances et pour quelques chants) deux grandes langues liturgiques anciennes : le grec byzantin (différent du grec littéraire ou katharévousa et du grec parlé moderne ou démotiki) et le slavon (langue constituée au ixe siècle, à partir de laquelle les différentes langues slaves – russe, ukrainien, serbe, bulgare… – ont été formées).


Le chant liturgique orthodoxe en français.

L’une des caractéristiques du chant liturgique orthodoxe est qu’il ne comporte pas d’accompagnement musical et est donc purement vocal ou a capella.

Le chant est composé de l’union d’un texte et d’une mélodie. Selon la tradition orthodoxe, si les deux contribuent à la prière et à la célébration de la gloire de Dieu, la mélodie doit être au service du texte et non l’inverse.

L’interprétation doit être sobre, éviter tout caractère passionné, tout sentimentalisme et tout effet de type artistique. Les chanteurs ne doivent pas mettre en avant leur personnalité et leur talent afin d’avoir l’humilité nécessaire pour représenter le peuple qui, dans les Églises orthodoxes, ne chante pas.

En ce qui concerne le texte, il y a dans le monde orthodoxe, en dehors de quelques idiômes comme le géorgien et du latin (qui n’est plus utilisé qu’en de rares ciconstances et pour quelques chants) deux grandes langues liturgiques anciennes : le grec byzantin (différent du grec littéraire ou katharévousa et du grec parlé moderne ou démotiki) et le slavon (langue constituée au ixe siècle, à partir de laquelle les différentes langues slaves – russe, ukrainien, serbe, bulgare… – ont été formées).