Les racines de la tradition magique occidentale, mieux connue sous le nom d’occultisme depuis le XIXe siècle, remontent à l’antiquité gréco-romaine et à la Kabbale hébraïque. Au fil des siècles, elle s’est manifestée au travers de nombreuses œuvres célèbres, comme les Mystères d’Égypte de Jamblique, l’Heptameron de Pierre d’Abano, la Philosophie Occulte d’Agrippa ou le Dogme et Rituel de Haute Magie d’Éliphas Lévi.
Mais, trop souvent persécutée par les autorités religieuses, elle a dû se déguiser, ne s’exprimer qu’à mots couverts et bien souvent ses principes fondamentaux ont été oubliés. A force de recopiages et de translittérations inexactes, les noms de ses anges et de ses esprits ont été déformés.
Quelles sont les fondements intellectuels et les bases idéologiques de cette tradition ?
Quels sont les a priori qui sous-tendent ces pratiques ?
Quels sont les outils et les méthodes dont elles se servent ?
Voici quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage tentera d’apporter des réponses.
Les racines de la tradition magique occidentale, mieux connue sous le nom d’occultisme depuis le XIXe siècle, remontent à l’antiquité gréco-romaine et à la Kabbale hébraïque. Au fil des siècles, elle s’est manifestée au travers de nombreuses œuvres célèbres, comme les Mystères d’Égypte de Jamblique, l’Heptameron de Pierre d’Abano, la Philosophie Occulte d’Agrippa ou le Dogme et Rituel de Haute Magie d’Éliphas Lévi.
Mais, trop souvent persécutée par les autorités religieuses, elle a dû se déguiser, ne s’exprimer qu’à mots couverts et bien souvent ses principes fondamentaux ont été oubliés. A force de recopiages et de translittérations inexactes, les noms de ses anges et de ses esprits ont été déformés.
Quelles sont les fondements intellectuels et les bases idéologiques de cette tradition ?
Quels sont les a priori qui sous-tendent ces pratiques ?
Quels sont les outils et les méthodes dont elles se servent ?
Voici quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage tentera d’apporter des réponses.