Leibniz demandait : « Pourquoi y a-t-il quelque-chose plutôt que rien ? » Ici, on se demandera : Pourquoi y a-t-il du sexe ? D´où procèdent les sexes, à quoi la sexualité renvoie-t-elle ? Qu´en est-il des amants après la mort ? Répondre à ces questions que chacun se pose est l´objet de cette métaphysique du sexe - moderne scientifiquement, mais selon la tripartition humaine traditionnelle : corps, psyché et esprit, et en rupture avec l´approche trans-psychologique et trans-physiologique de Julius Evola. C´est une métaphysique ouverte, puisqu´il faut bien rendre compte de la variété des sexuations, des genres et des sexualités. Cela n´empêchera pas de découvrir un certain nombre d´idéalités (de perfections), sexuelles et spirituelles. Dès lors pratiquement, tout participera de ces perfections potentielles, à un degré plus ou moins élevé.
Leibniz demandait : « Pourquoi y a-t-il quelque-chose plutôt que rien ? » Ici, on se demandera : Pourquoi y a-t-il du sexe ? D´où procèdent les sexes, à quoi la sexualité renvoie-t-elle ? Qu´en est-il des amants après la mort ? Répondre à ces questions que chacun se pose est l´objet de cette métaphysique du sexe - moderne scientifiquement, mais selon la tripartition humaine traditionnelle : corps, psyché et esprit, et en rupture avec l´approche trans-psychologique et trans-physiologique de Julius Evola. C´est une métaphysique ouverte, puisqu´il faut bien rendre compte de la variété des sexuations, des genres et des sexualités. Cela n´empêchera pas de découvrir un certain nombre d´idéalités (de perfections), sexuelles et spirituelles. Dès lors pratiquement, tout participera de ces perfections potentielles, à un degré plus ou moins élevé.