"Ce merveilleux personnage ne s’est jamais présenté comme un dieu (il ne délirait nullement, lui !), mais comme un prophète prêchant un Dieu-Père des humains, de tous les humains, et dieu d’amour... et non le Yawhé sectaire, colérique, un dieu raciste ne voulant du bien qu’à sa « race élue » !
Ce n’est que la veille de sa mort, dans des conditions très particulières bien détaillées dans le livre, que Jésus Christ a accepté de répondre « oui » quand on lui demandait s’il était le Messie, appellation qu’il avait toujours repoussée les trois années de sa prédication.
C’est Saül-Paul, en totale contradiction du successeur désigné par Jésus, son frère Jacques, qui a fait de lui un « dieu ». La religion « chrétienne » ne devrait s’appeler que « paulinienne » ; elle ne repose que sur le délire d’un épileptique, le sieur Saül-Paul, considéré comme « un fou », par les deux premiers « évêques » de Jérusalem, Jacques le demi-frère de Jésus et Siméon, son cousin.
La thèse de ce livre repose sur les évangiles apocryphes : ils révèlent un Jésus fort ambigu dans sa prédication, très savant (son langage prouve qu’il s’est frotté aux philosophes grecs). L’auteur, après analyse d’une douzaine de ces évangiles, estime que cet être exceptionnellement bon a progressivement abandonné sa foi en dieu, mais a prêché un dieu de bonté et d’amour ainsi que l’espérance de la « vie éternelle » par compassion envers l’humanité souffrante. S’il est un imposteur, c’est par pure bonté d’âme, par amour du genre humain... des imposteurs de ce type valent infiniment mieux que de fort honnêtes révolutionnaires...
L’histoire de Jésus est celle de l’être le plus exquis qui ait jamais été engendré par un couple humain (et si Jésus a repris le thème d’Akhénaton du Dieu-Père, c’est peut-être parce que son père était un homme remarquable (c’est le thème de la première partie du livre). Jésus est une merveille et sa « religion » un (beau ?) mythe, issu des hallucinations de Saül-Paul. La quatrième partie raconte la genèse de ce mythe.
Ce livre est un livre d’histoire pure, d’un auteur émerveillé par le personnage central... qui est l’élément majeur d’un trio... Encore une nouveauté de ce livre !"
"Ce merveilleux personnage ne s’est jamais présenté comme un dieu (il ne délirait nullement, lui !), mais comme un prophète prêchant un Dieu-Père des humains, de tous les humains, et dieu d’amour... et non le Yawhé sectaire, colérique, un dieu raciste ne voulant du bien qu’à sa « race élue » !
Ce n’est que la veille de sa mort, dans des conditions très particulières bien détaillées dans le livre, que Jésus Christ a accepté de répondre « oui » quand on lui demandait s’il était le Messie, appellation qu’il avait toujours repoussée les trois années de sa prédication.
C’est Saül-Paul, en totale contradiction du successeur désigné par Jésus, son frère Jacques, qui a fait de lui un « dieu ». La religion « chrétienne » ne devrait s’appeler que « paulinienne » ; elle ne repose que sur le délire d’un épileptique, le sieur Saül-Paul, considéré comme « un fou », par les deux premiers « évêques » de Jérusalem, Jacques le demi-frère de Jésus et Siméon, son cousin.
La thèse de ce livre repose sur les évangiles apocryphes : ils révèlent un Jésus fort ambigu dans sa prédication, très savant (son langage prouve qu’il s’est frotté aux philosophes grecs). L’auteur, après analyse d’une douzaine de ces évangiles, estime que cet être exceptionnellement bon a progressivement abandonné sa foi en dieu, mais a prêché un dieu de bonté et d’amour ainsi que l’espérance de la « vie éternelle » par compassion envers l’humanité souffrante. S’il est un imposteur, c’est par pure bonté d’âme, par amour du genre humain... des imposteurs de ce type valent infiniment mieux que de fort honnêtes révolutionnaires...
L’histoire de Jésus est celle de l’être le plus exquis qui ait jamais été engendré par un couple humain (et si Jésus a repris le thème d’Akhénaton du Dieu-Père, c’est peut-être parce que son père était un homme remarquable (c’est le thème de la première partie du livre). Jésus est une merveille et sa « religion » un (beau ?) mythe, issu des hallucinations de Saül-Paul. La quatrième partie raconte la genèse de ce mythe.
Ce livre est un livre d’histoire pure, d’un auteur émerveillé par le personnage central... qui est l’élément majeur d’un trio... Encore une nouveauté de ce livre !"