L’approche culturelle et théologique de Teilhard de Chardin est une ouverture sur le mystère de l’homme, un pont entre science et foi, dans le cadre de l’évolutionnisme. Il écrit, dans son ouvrage : L’Avenir de l’homme : « La Vie n’est pas qu’un simple état. Elle représente un vaste mouvement dirigé, lié à la structure même de la Cosmogenèse (…). On m’a reproché d’être un novateur. En vérité, plus j’ai médité les attributs cosmiques prodigués par saint Paul à Jésus ressuscité, plus j’ai réfléchi au sens conquérant des vertus chrétiennes, plus je me suis aperçu que le Christianisme ne prenait sa pleine valeur que porté à des dimensions universelles ». Teilhard voit dans la montée de la vie une poussée vers l’avant telle qu’on peut le lire dans saint Jean : « Élevé de terre, j’attirerai tout à moi » et dans saint Paul : « Tout est par lui, pour lui et en lui »
Ce qui m’a paru le plus important, c’est, non pas de reprendre systématiquement toutes les visions d’un personnage hors norme, mais de décrire tout simplement ce qui se rapporte à la condition humaine et montrer que l’essentiel de la pensée teilhardienne est capable de nous faire entrer en résonance avec l’œuvre immense et merveilleuse de la Création. Cette pensée nous conduit à appréhender la notion d’infini.
L’approche culturelle et théologique de Teilhard de Chardin est une ouverture sur le mystère de l’homme, un pont entre science et foi, dans le cadre de l’évolutionnisme. Il écrit, dans son ouvrage : L’Avenir de l’homme : « La Vie n’est pas qu’un simple état. Elle représente un vaste mouvement dirigé, lié à la structure même de la Cosmogenèse (…). On m’a reproché d’être un novateur. En vérité, plus j’ai médité les attributs cosmiques prodigués par saint Paul à Jésus ressuscité, plus j’ai réfléchi au sens conquérant des vertus chrétiennes, plus je me suis aperçu que le Christianisme ne prenait sa pleine valeur que porté à des dimensions universelles ». Teilhard voit dans la montée de la vie une poussée vers l’avant telle qu’on peut le lire dans saint Jean : « Élevé de terre, j’attirerai tout à moi » et dans saint Paul : « Tout est par lui, pour lui et en lui »
Ce qui m’a paru le plus important, c’est, non pas de reprendre systématiquement toutes les visions d’un personnage hors norme, mais de décrire tout simplement ce qui se rapporte à la condition humaine et montrer que l’essentiel de la pensée teilhardienne est capable de nous faire entrer en résonance avec l’œuvre immense et merveilleuse de la Création. Cette pensée nous conduit à appréhender la notion d’infini.