Le jour de la Conquête de La Mekke, le Prophète, monté sur sa chamelle et coiffé d’un turban noir, fit les tournées rituelles autour de la Kaaba. Il détruisit les idoles en prononçant le verset : « Jā al-haqq wa zahaqa-l-bātil inna-l-bātil kāna zahūqan (La Vérité est venue et l’erreur s’est dissipée. En vérité l’erreur était inconsistante) ».
Le Cheikh Mustafâ Abd al-Azîz (Michel Vâlsan) intégra le même verset dans une eulogie qu’il composa en 1971 en l’honneur du Cheikh Abd al-Wâhid Yahyâ (René Guénon). Par là, il rattachait clairement la fonction de ce dernier à la victoire finale de la Révélation islamique.
Le jour de la Conquête de La Mekke, le Prophète, monté sur sa chamelle et coiffé d’un turban noir, fit les tournées rituelles autour de la Kaaba. Il détruisit les idoles en prononçant le verset : « Jā al-haqq wa zahaqa-l-bātil inna-l-bātil kāna zahūqan (La Vérité est venue et l’erreur s’est dissipée. En vérité l’erreur était inconsistante) ».
Le Cheikh Mustafâ Abd al-Azîz (Michel Vâlsan) intégra le même verset dans une eulogie qu’il composa en 1971 en l’honneur du Cheikh Abd al-Wâhid Yahyâ (René Guénon). Par là, il rattachait clairement la fonction de ce dernier à la victoire finale de la Révélation islamique.