
		Cet essai  original porte sur les degrés de l’amour. La première  puissance consiste dans  l’extase, la présence et le sacrifice qui font  l’aimant prononcer :  « Tu es la Voie, la Vérité et la Vie »,  déclaration que l’auteur  commente longuement.
 Le terme de  deuxième puissance convient à l’amour de l’amour, ce moment  où le sentiment se  prolonge dans la fidélité aux gestes déjà accomplis  en faveur de la personne  aimée.
 La troisième  puissance s’explique par l’effet de l’élection : la  personne aimée devient  celle par laquelle toute chose est agréée et  célébrée. 
 Pour illustrer  son propos, l’auteur a eu recours à maintes œuvres  littéraires dont un poème de  János Pilinszki,  un roman catalan du XVe   siècle, Curial et Guelfe, la  correspondance de la Marquise de Sévigné et l’essai autobiographique de Michel  Delescure.

Cet essai  original porte sur les degrés de l’amour. La première  puissance consiste dans  l’extase, la présence et le sacrifice qui font  l’aimant prononcer :  « Tu es la Voie, la Vérité et la Vie »,  déclaration que l’auteur  commente longuement.
 Le terme de  deuxième puissance convient à l’amour de l’amour, ce moment  où le sentiment se  prolonge dans la fidélité aux gestes déjà accomplis  en faveur de la personne  aimée.
 La troisième  puissance s’explique par l’effet de l’élection : la  personne aimée devient  celle par laquelle toute chose est agréée et  célébrée. 
 Pour illustrer  son propos, l’auteur a eu recours à maintes œuvres  littéraires dont un poème de  János Pilinszki,  un roman catalan du XVe   siècle, Curial et Guelfe, la  correspondance de la Marquise de Sévigné et l’essai autobiographique de Michel  Delescure.
