André Markowicz, à qui l´on doit entre autres la traduction saluée par tous des oeuvres complètes de Dostoïevski, livre ici une traduction de traduction de l´un des plus anciens textes de l´humanité. La version de Nikolaï Goumiliov est celle d´un poète, un texte qui reprend le rythme du texte original, qui reprend ses jeux sur les sons, au plus près du texte tel qu´il fut établi en 1907 par Édouard Dhorme. En résulte une épopée tragique, tout à la fois ancrée dans son époque et dans le début du XXe siècle, qui narre "la quête de l´immortel d´un homme qui, finalement, choisit de n´être qu´un homme - n´arrivant pas à dominer sa terreur de la mort" (André Markowicz).
André Markowicz, à qui l´on doit entre autres la traduction saluée par tous des oeuvres complètes de Dostoïevski, livre ici une traduction de traduction de l´un des plus anciens textes de l´humanité. La version de Nikolaï Goumiliov est celle d´un poète, un texte qui reprend le rythme du texte original, qui reprend ses jeux sur les sons, au plus près du texte tel qu´il fut établi en 1907 par Édouard Dhorme. En résulte une épopée tragique, tout à la fois ancrée dans son époque et dans le début du XXe siècle, qui narre "la quête de l´immortel d´un homme qui, finalement, choisit de n´être qu´un homme - n´arrivant pas à dominer sa terreur de la mort" (André Markowicz).