Telle est donc la manière dont toutes les sciences, depuis les mathemata (avec ses branches, et on pourrait y ajouter la logique dont la fonction est d’enseigner à l’homme la manière de rechercher la vérité et d’évité la fausseté), à la physique, à la métaphysique, à la psychologie (et on pourrait y ajouter la physiologie qui intervient aussi dans la détermination des puissances de l’âme) à la politique (qui les totalise pour ainsi dire) se tiennent et s’ordonnent, selon une logique implacable, pour conduire l’homme vers sa fin ultime : « le bonheur suprême ».
Telle est donc la manière dont toutes les sciences, depuis les mathemata (avec ses branches, et on pourrait y ajouter la logique dont la fonction est d’enseigner à l’homme la manière de rechercher la vérité et d’évité la fausseté), à la physique, à la métaphysique, à la psychologie (et on pourrait y ajouter la physiologie qui intervient aussi dans la détermination des puissances de l’âme) à la politique (qui les totalise pour ainsi dire) se tiennent et s’ordonnent, selon une logique implacable, pour conduire l’homme vers sa fin ultime : « le bonheur suprême ».