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PLATON Ainsi parlait Platon Librairie Eklectic

Ainsi parlait Platon

Auteur : PLATON
Editeur : ARFUYEN
Nombre de pages : 188
Date de parution : 24/10/2025
Forme : Livre ISBN : 9782845903951
ARFUY189

NEUF habituellement en stock
Prix : 14.00€

Platon ne cesse d´être étranger à lui-même. Est-ce lui qui prête, ou emprunte-t-il sa voix aux autres ? Il fait parler le vieux Parménide, à la recherche de l´être et du non-être, ou Aristophane, racontant entre éternuements et fous-rires le mythe de l´androgyne, ou Socrate, qui ne dit qu´une chose, c´est qu´il n´a rien à dire.

Dans ce théâtre d´ombres, où se situe Platon ? « On ne s´imagine Platon et Aristote qu´avec de grandes robes de pédants, écrit Pascal. Mais c´étaient des gens honnêtes et comme les autres, riant avec leurs amis. Et quand ils se sont divertis à faire leurs Lois et leurs Politiques, c´était la partie la moins sérieuse de leur vie ; la plus philosophe était de vivre simplement et tranquillement. »

Devant les dialogues de Platon, il faut retrouver l´étonnement. Chacun de ses personnages semble le porte-voix d´un autre qui était plus près du moment originel de la parole. L´oeuvre de Platon reflète la condition humaine même : celle de la représentation, dans un espace intermédiaire entre la présence pure et l´absence simple.

Nous vivons sous le règne de Zeus : le temps s´écoule dans le mauvais sens, le monde est de plus en plus désordonné et la politique de plus en plus impossible. Socrate est celui qui clame qu´il faut inverser aussi le cours de notre vie. Il le paiera de sa vie.

Marquée par la tradition chrétienne qui se l´est approprié, la lecture de Platon est victime d´un esprit de système que déplorait Montaigne. Il faut redécouvrir ce que cette pensée a de divers et d´ouvert. C´est ce que peut nous apporter, grâce à l´approche novatrice d´Emmanuel Pasquier, une lecture comme celle de la collection « Ainsi parlait ».Platon ne cesse d´être étranger à lui-même. Est-ce lui qui prête, ou emprunte-t-il sa voix aux autres ? Il fait parler le vieux Parménide, à la recherche de l´être et du non-être, ou Aristophane, racontant entre éternuements et fous-rires le mythe de l´androgyne, ou Socrate, qui ne dit qu´une chose, c´est qu´il n´a rien à dire.

Dans ce théâtre d´ombres, où se situe Platon ? « On ne s´imagine Platon et Aristote qu´avec de grandes robes de pédants, écrit Pascal. Mais c´étaient des gens honnêtes et comme les autres, riant avec leurs amis. Et quand ils se sont divertis à faire leurs Lois et leurs Politiques, c´était la partie la moins sérieuse de leur vie ; la plus philosophe était de vivre simplement et tranquillement. »

Devant les dialogues de Platon, il faut retrouver l´étonnement. Chacun de ses personnages semble le porte-voix d´un autre qui était plus près du moment originel de la parole. L´oeuvre de Platon reflète la condition humaine même : celle de la représentation, dans un espace intermédiaire entre la présence pure et l´absence simple.

Nous vivons sous le règne de Zeus : le temps s´écoule dans le mauvais sens, le monde est de plus en plus désordonné et la politique de plus en plus impossible. Socrate est celui qui clame qu´il faut inverser aussi le cours de notre vie. Il le paiera de sa vie.

Marquée par la tradition chrétienne qui se l´est approprié, la lecture de Platon est victime d´un esprit de système que déplorait Montaigne. Il faut redécouvrir ce que cette pensée a de divers et d´ouvert. C´est ce que peut nous apporter, grâce à l´approche novatrice d´Emmanuel Pasquier, une lecture comme celle de la collection « Ainsi parlait ».

 


Platon ne cesse d´être étranger à lui-même. Est-ce lui qui prête, ou emprunte-t-il sa voix aux autres ? Il fait parler le vieux Parménide, à la recherche de l´être et du non-être, ou Aristophane, racontant entre éternuements et fous-rires le mythe de l´androgyne, ou Socrate, qui ne dit qu´une chose, c´est qu´il n´a rien à dire.

Dans ce théâtre d´ombres, où se situe Platon ? « On ne s´imagine Platon et Aristote qu´avec de grandes robes de pédants, écrit Pascal. Mais c´étaient des gens honnêtes et comme les autres, riant avec leurs amis. Et quand ils se sont divertis à faire leurs Lois et leurs Politiques, c´était la partie la moins sérieuse de leur vie ; la plus philosophe était de vivre simplement et tranquillement. »

Devant les dialogues de Platon, il faut retrouver l´étonnement. Chacun de ses personnages semble le porte-voix d´un autre qui était plus près du moment originel de la parole. L´oeuvre de Platon reflète la condition humaine même : celle de la représentation, dans un espace intermédiaire entre la présence pure et l´absence simple.

Nous vivons sous le règne de Zeus : le temps s´écoule dans le mauvais sens, le monde est de plus en plus désordonné et la politique de plus en plus impossible. Socrate est celui qui clame qu´il faut inverser aussi le cours de notre vie. Il le paiera de sa vie.

Marquée par la tradition chrétienne qui se l´est approprié, la lecture de Platon est victime d´un esprit de système que déplorait Montaigne. Il faut redécouvrir ce que cette pensée a de divers et d´ouvert. C´est ce que peut nous apporter, grâce à l´approche novatrice d´Emmanuel Pasquier, une lecture comme celle de la collection « Ainsi parlait ».Platon ne cesse d´être étranger à lui-même. Est-ce lui qui prête, ou emprunte-t-il sa voix aux autres ? Il fait parler le vieux Parménide, à la recherche de l´être et du non-être, ou Aristophane, racontant entre éternuements et fous-rires le mythe de l´androgyne, ou Socrate, qui ne dit qu´une chose, c´est qu´il n´a rien à dire.

Dans ce théâtre d´ombres, où se situe Platon ? « On ne s´imagine Platon et Aristote qu´avec de grandes robes de pédants, écrit Pascal. Mais c´étaient des gens honnêtes et comme les autres, riant avec leurs amis. Et quand ils se sont divertis à faire leurs Lois et leurs Politiques, c´était la partie la moins sérieuse de leur vie ; la plus philosophe était de vivre simplement et tranquillement. »

Devant les dialogues de Platon, il faut retrouver l´étonnement. Chacun de ses personnages semble le porte-voix d´un autre qui était plus près du moment originel de la parole. L´oeuvre de Platon reflète la condition humaine même : celle de la représentation, dans un espace intermédiaire entre la présence pure et l´absence simple.

Nous vivons sous le règne de Zeus : le temps s´écoule dans le mauvais sens, le monde est de plus en plus désordonné et la politique de plus en plus impossible. Socrate est celui qui clame qu´il faut inverser aussi le cours de notre vie. Il le paiera de sa vie.

Marquée par la tradition chrétienne qui se l´est approprié, la lecture de Platon est victime d´un esprit de système que déplorait Montaigne. Il faut redécouvrir ce que cette pensée a de divers et d´ouvert. C´est ce que peut nous apporter, grâce à l´approche novatrice d´Emmanuel Pasquier, une lecture comme celle de la collection « Ainsi parlait ».