"Histoire fameuse des années glorieuses des samouraïs, adaptée dans notre langue et romancée par George Soulié de Morant, un des plus grands orientalistes français, ""Le Trésor des loyaux samouraïs"" est sans doute l´un des récits les plus touchants et les plus riches de sens jamais publiés sur ces guerriers farouches. Les aventures des 47 Rônins, de son nom japonais ""Chushingura"" (le trésor des loyaux serviteurs) ne sont pas une légende, mais un ""fait divers"" qui défraya la chronique au début du XVIIP siècle, et que l´imagination populaire s´est plu à embellir. II était formellement interdit de dégainer son sabre dans l´enceinte du palais royal, mais le seigneur Asano Takumino-Kami, jeune guerrier aussi brave qu´intransigeant, passa outre pour répondre aux provocations du chef des rites, Kira Kozukenosuke Yoshinaka. La Loi shogunale est intransigeante et le seigneur Asano fut condamné à mort mais ses vassaux, 47 samouraïs désormais sans maître, jurèrent de venger sa mémoire. Pendant plus d´un an, la conjuration demeura secrète, endurant le mépris pour endormir la méfiance de Kira Leur abnégation porta ses fruits et les braves finir par se venger pour être, à leur tour, condamnés au suicide rituel. Ce livre, richement illustré par les plus grands peintres japonais du XIX siècle, passionnera tous ceux qui s´intéressent à l´esprit guerrier des samouraïs et à l´histoire de l´Extrême-Orient.
George Soulié de Morant (1878-1955) apprit tout petit le chinois. C´est cette chance particulière qui devait orienter tout le cours de sa vie et faire de lui un auteur prolifique, et son oeuvre ne se limita pas seulement à l´acupuncture, qui le rendit célèbre. Toute sa bibliographie tourne autour de la Chine et de l´Extrême-Orient: art histoire, romans, traductions mais l´acuponcture (c´est ainsi qu´il l´orthographiait) constitue sans nul doute le plus gros de son oeuvre. La première édition de ce livre, sortie sous le titre ""Le Trésor des Loyaux Samouraïs""; date de 1927. Olivier Gaurin (1959-) commence l´escrime à l´âge de 5 ans et débute l´aïkido à 15 ans Après avoir terminé ses études de philosophie, il décide de partir au Japon pour 3 mois, il y restera 11 ans, se mariera avec une Japonaise et finalement avec son pays d´adoption. Parlant japonais, pratiquant l´aïkido quotidiennement il se lance aussi dans l´écriture de romans et produit l´excellent ""Epée Reine"", saga en deux tomes qui mène le lecteur du Japon des Shôguns à l´Europe d´Henri IV. Il vit dans le sud de Tokyo, près du temple Sengakuji où reposent les 47 rônins. Ando Utagawa Hiroshige (1797-1858): Héritier d´une charge prestigieuse, il n´en délaisse pas moins les affaires administratives pour s´adonner à la peinture. Un des grands spécialistes de la scène de paysage avec Katsuchika Hokusai, il se rend célèbre avec sa fameuse séné de vues du Tokaido, grande route empruntée par les nobles japonais pour se rendre chez le Shôgun, à Tôkyô. Ses séries sur les 47 rônins sont remarquables. Yamada Kuniteru II(1829-1874) Rendu populaire en France par sa participation à l´Exposition universelle de Paris de 1867, ses quelques scènes de la Vengeance des loyaux samouraïs sont superbes. Ichimosai Utagawa Yoshitora (1850-1880) On ne connait pas avec certitude les dates de naissance et de décès de Utagawa Yosiûtora qui fut un élève de Kunryoshi. Dans ses estampes, il s´intéresse principalement aux jolies femmes, aux acteurs et aux étrangers. II doit aussi sa réputation à ses représentations des Européens de l´enclave de Yokohama et leurs réalisations technologiques comme les bateaux en fer, les montgolfières ou les locomotives. Utagawa Kuniyoshi (1797-1861) Célèbre pour ses estampes de guerriers et personnages légendaires, sa production est originale au point que les jeunes gens d´Edo se faisaient tatouer sur le corps des dessins directement inspirés de ses estampes. Il réalisa une importante série de peintures de l´ensemble des 47 rônins."
"Histoire fameuse des années glorieuses des samouraïs, adaptée dans notre langue et romancée par George Soulié de Morant, un des plus grands orientalistes français, ""Le Trésor des loyaux samouraïs"" est sans doute l´un des récits les plus touchants et les plus riches de sens jamais publiés sur ces guerriers farouches. Les aventures des 47 Rônins, de son nom japonais ""Chushingura"" (le trésor des loyaux serviteurs) ne sont pas une légende, mais un ""fait divers"" qui défraya la chronique au début du XVIIP siècle, et que l´imagination populaire s´est plu à embellir. II était formellement interdit de dégainer son sabre dans l´enceinte du palais royal, mais le seigneur Asano Takumino-Kami, jeune guerrier aussi brave qu´intransigeant, passa outre pour répondre aux provocations du chef des rites, Kira Kozukenosuke Yoshinaka. La Loi shogunale est intransigeante et le seigneur Asano fut condamné à mort mais ses vassaux, 47 samouraïs désormais sans maître, jurèrent de venger sa mémoire. Pendant plus d´un an, la conjuration demeura secrète, endurant le mépris pour endormir la méfiance de Kira Leur abnégation porta ses fruits et les braves finir par se venger pour être, à leur tour, condamnés au suicide rituel. Ce livre, richement illustré par les plus grands peintres japonais du XIX siècle, passionnera tous ceux qui s´intéressent à l´esprit guerrier des samouraïs et à l´histoire de l´Extrême-Orient.
George Soulié de Morant (1878-1955) apprit tout petit le chinois. C´est cette chance particulière qui devait orienter tout le cours de sa vie et faire de lui un auteur prolifique, et son oeuvre ne se limita pas seulement à l´acupuncture, qui le rendit célèbre. Toute sa bibliographie tourne autour de la Chine et de l´Extrême-Orient: art histoire, romans, traductions mais l´acuponcture (c´est ainsi qu´il l´orthographiait) constitue sans nul doute le plus gros de son oeuvre. La première édition de ce livre, sortie sous le titre ""Le Trésor des Loyaux Samouraïs""; date de 1927. Olivier Gaurin (1959-) commence l´escrime à l´âge de 5 ans et débute l´aïkido à 15 ans Après avoir terminé ses études de philosophie, il décide de partir au Japon pour 3 mois, il y restera 11 ans, se mariera avec une Japonaise et finalement avec son pays d´adoption. Parlant japonais, pratiquant l´aïkido quotidiennement il se lance aussi dans l´écriture de romans et produit l´excellent ""Epée Reine"", saga en deux tomes qui mène le lecteur du Japon des Shôguns à l´Europe d´Henri IV. Il vit dans le sud de Tokyo, près du temple Sengakuji où reposent les 47 rônins. Ando Utagawa Hiroshige (1797-1858): Héritier d´une charge prestigieuse, il n´en délaisse pas moins les affaires administratives pour s´adonner à la peinture. Un des grands spécialistes de la scène de paysage avec Katsuchika Hokusai, il se rend célèbre avec sa fameuse séné de vues du Tokaido, grande route empruntée par les nobles japonais pour se rendre chez le Shôgun, à Tôkyô. Ses séries sur les 47 rônins sont remarquables. Yamada Kuniteru II(1829-1874) Rendu populaire en France par sa participation à l´Exposition universelle de Paris de 1867, ses quelques scènes de la Vengeance des loyaux samouraïs sont superbes. Ichimosai Utagawa Yoshitora (1850-1880) On ne connait pas avec certitude les dates de naissance et de décès de Utagawa Yosiûtora qui fut un élève de Kunryoshi. Dans ses estampes, il s´intéresse principalement aux jolies femmes, aux acteurs et aux étrangers. II doit aussi sa réputation à ses représentations des Européens de l´enclave de Yokohama et leurs réalisations technologiques comme les bateaux en fer, les montgolfières ou les locomotives. Utagawa Kuniyoshi (1797-1861) Célèbre pour ses estampes de guerriers et personnages légendaires, sa production est originale au point que les jeunes gens d´Edo se faisaient tatouer sur le corps des dessins directement inspirés de ses estampes. Il réalisa une importante série de peintures de l´ensemble des 47 rônins."