De corporibus et spiritibus d´Archelaus ; Vade mecum du Frère Élie ; Tractatus domini Episcopi Cerui
Andrée Colinet a rassemblé et traduits dans ce volume trois traités inédits d´auteurs latins du haut Moyen Âge. Le premier, le De corporibus et spiritibus (Des corps et des esprits) du mystérieux Archelaus, est une summa alors fort connue et souvent citée par les auteurs postérieurs, notamment Michel Scot ; elle est ici éditée dans sa première version.
Le second est le Vade mecum attribué au successeur de saint François d´Assise, Élie de Cortone (1180-1253), le plus ancien ouvrage à traiter des acides, en particulier de l´aqua fortis (ou acide nitrique), si importante en alchimie.
Le troisième est un écrit que l´on croyait perdu, le Tractatus domini Episcopi Cer viensis (Traité de Monseigneur l´évêque de Cervia) du moine chirurgien Théodoric Borgognoni (1205-1298), fameux pour avoir le premier recommandé, dans sa Cyrurgia seu filia principis, l´alcool pour désinfecter les plaies et l´usage de divers anesthésiants.
Les éditions critiques et les traductions, abondamment annotées, de ces trois traités, sont complétées par de riches études, portant notamment sur leurs sources, ainsi que par des index et glossaires particuliers des termes latins des substances et instruments mentionnés.
De corporibus et spiritibus d´Archelaus ; Vade mecum du Frère Élie ; Tractatus domini Episcopi Cerui
Andrée Colinet a rassemblé et traduits dans ce volume trois traités inédits d´auteurs latins du haut Moyen Âge. Le premier, le De corporibus et spiritibus (Des corps et des esprits) du mystérieux Archelaus, est une summa alors fort connue et souvent citée par les auteurs postérieurs, notamment Michel Scot ; elle est ici éditée dans sa première version.
Le second est le Vade mecum attribué au successeur de saint François d´Assise, Élie de Cortone (1180-1253), le plus ancien ouvrage à traiter des acides, en particulier de l´aqua fortis (ou acide nitrique), si importante en alchimie.
Le troisième est un écrit que l´on croyait perdu, le Tractatus domini Episcopi Cer viensis (Traité de Monseigneur l´évêque de Cervia) du moine chirurgien Théodoric Borgognoni (1205-1298), fameux pour avoir le premier recommandé, dans sa Cyrurgia seu filia principis, l´alcool pour désinfecter les plaies et l´usage de divers anesthésiants.
Les éditions critiques et les traductions, abondamment annotées, de ces trois traités, sont complétées par de riches études, portant notamment sur leurs sources, ainsi que par des index et glossaires particuliers des termes latins des substances et instruments mentionnés.