Ne pas croire en la magie n´est point une raison de la dédaigner. Elle a tenu, dans la constitution des sociétés primites et dans le développement même de l´esprit humain, une place dont tous à peu près sont d´accord et que d´aucuns seraient plutôt portés à surfaire qu´à ravaler.
Victor Henry, professeur de sanskrit et de grammaire comparée des langues indo-européennes à l´université de la Sorbonne au début du XXeme siècle, nous livre ici un aperçu des connaissances magiques et ésotériques telles qu´elles s´inscrivaient au sein de la religion et de la société indienne Védique (entre le 2ème millénaire et 500 avant J-C), Brahamique (-600 à 500) puis Hindoue, dévoilant ainsi l´importance qu´ont pu revêtir la magie et l´ésotérisme dans le développement de ces civilisations, et permettant d´appréhender sous un oeil nouveau les syncrétismes modernes fondés sur les traditions magiques et spirituelles indiennes.
Ne pas croire en la magie n´est point une raison de la dédaigner. Elle a tenu, dans la constitution des sociétés primites et dans le développement même de l´esprit humain, une place dont tous à peu près sont d´accord et que d´aucuns seraient plutôt portés à surfaire qu´à ravaler.
Victor Henry, professeur de sanskrit et de grammaire comparée des langues indo-européennes à l´université de la Sorbonne au début du XXeme siècle, nous livre ici un aperçu des connaissances magiques et ésotériques telles qu´elles s´inscrivaient au sein de la religion et de la société indienne Védique (entre le 2ème millénaire et 500 avant J-C), Brahamique (-600 à 500) puis Hindoue, dévoilant ainsi l´importance qu´ont pu revêtir la magie et l´ésotérisme dans le développement de ces civilisations, et permettant d´appréhender sous un oeil nouveau les syncrétismes modernes fondés sur les traditions magiques et spirituelles indiennes.