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LEONARD André Métaphysique de l´être. Essai de philosophie fondamentale Librairie Eklectic

Métaphysique de l´être. Essai de philosophie fondamentale

Auteur : LEONARD André
Editeur : CERF
Nombre de pages : 448
Date de parution : 01/05/2006
Forme : Livre ISBN : 2204080594
CERF743

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 44.00€

"La métaphysique est aujourd’hui contestée de toute part comme étant soit dénuée de sens soit inaccessible à l’esprit humain. Et pourtant, qu’il le veuille ou non, l’homme fait constamment de la métaphysique parce qu’il est un animal métaphysique.
Après une introduction consacrée au sens et à l’enjeu de la métaphysique, le présent ouvrage tente, dans un premier temps, de poser la question de la métaphysique en revisitant de manière à la fois bienveillante et critique quatre grandes figures qui se sont débattues avec la pensée métaphysique : Thomas d’Aquin, Kant, Hegel et Heidegger. De ce parcours se dégagent des pistes pour une approche contemporaine de l’interrogation métaphysique. Elles pointent en direction d’une pensée métaphysique de l’être (Thomas d’Aquin) dont le réalisme intègre la subjectivité transcendantale moderne (Kant) sans que la totalité ainsi obtenue se dialectise dans un système de la négativité absolue (Hegel) ni que l’existence humaine y soit placée devant la positivité énigmatique d’un être hypostasié et indifférencié (Heidegger).
La seconde partie est consacrée, à partir de cette perspective, au déploiement organique d’une pensée métaphysique de l’être. On y part de l’être comme fondement de la pensée et de son interrogation, comme fondement de l’esprit tant pratique que théorique, pour s’élever ensuite, par l’abstraction métaphysique correctement comprise, à la saisie de l’être en lui-même en sa positivité et sa plénitude originaires. Dans un ultime effort, la pensée se laisse entraîner, au fil de la triple différence entre le Je et le Tu, entre les étants et l’être, et enfin entre les étants, l’être et Dieu, jusqu’à la pensée métaphysique de Dieu et de la création. L’être apparaît ainsi comme similitude de la pensée divine, ce qui ouvre le champ d’une pensée positive de l’analogie et de l’exemplarité.
L’ouvrage se termine par une méditation du rapport entre métaphysique de l’être et révélation chrétienne.
Tout en cherchant à traiter les questions substantiellement, l’ouvrage cherche, sur le plan pédagogique, à ne pas être réservé aux spécialistes et se veut largement accessible aux esprits cultivés et aux étudiants en philosophie."


"La métaphysique est aujourd’hui contestée de toute part comme étant soit dénuée de sens soit inaccessible à l’esprit humain. Et pourtant, qu’il le veuille ou non, l’homme fait constamment de la métaphysique parce qu’il est un animal métaphysique.
Après une introduction consacrée au sens et à l’enjeu de la métaphysique, le présent ouvrage tente, dans un premier temps, de poser la question de la métaphysique en revisitant de manière à la fois bienveillante et critique quatre grandes figures qui se sont débattues avec la pensée métaphysique : Thomas d’Aquin, Kant, Hegel et Heidegger. De ce parcours se dégagent des pistes pour une approche contemporaine de l’interrogation métaphysique. Elles pointent en direction d’une pensée métaphysique de l’être (Thomas d’Aquin) dont le réalisme intègre la subjectivité transcendantale moderne (Kant) sans que la totalité ainsi obtenue se dialectise dans un système de la négativité absolue (Hegel) ni que l’existence humaine y soit placée devant la positivité énigmatique d’un être hypostasié et indifférencié (Heidegger).
La seconde partie est consacrée, à partir de cette perspective, au déploiement organique d’une pensée métaphysique de l’être. On y part de l’être comme fondement de la pensée et de son interrogation, comme fondement de l’esprit tant pratique que théorique, pour s’élever ensuite, par l’abstraction métaphysique correctement comprise, à la saisie de l’être en lui-même en sa positivité et sa plénitude originaires. Dans un ultime effort, la pensée se laisse entraîner, au fil de la triple différence entre le Je et le Tu, entre les étants et l’être, et enfin entre les étants, l’être et Dieu, jusqu’à la pensée métaphysique de Dieu et de la création. L’être apparaît ainsi comme similitude de la pensée divine, ce qui ouvre le champ d’une pensée positive de l’analogie et de l’exemplarité.
L’ouvrage se termine par une méditation du rapport entre métaphysique de l’être et révélation chrétienne.
Tout en cherchant à traiter les questions substantiellement, l’ouvrage cherche, sur le plan pédagogique, à ne pas être réservé aux spécialistes et se veut largement accessible aux esprits cultivés et aux étudiants en philosophie."