Les plantes communiquent entre elles ou avec les animaux (insectes et vertébrés) par une combinaison d’odeurs, de phéromones, de couleurs, de lumière et de formes différentes. Certaines orchidées font même usage de leurres sexuels pour attirer les insectes pollinisateurs. Lorsque cela est nécessaire, pour se protéger des herbivores, elles font appel à des gardes du corps ou aux ennemis naturels (parasitoïdes) de leurs tourmenteurs. Ou encore elles avertissent leurs voisines d’un danger imminent afin que ces dernières se préparent à affronter l’ennemi ou la sécheresse. Les plantes communiquent également par champs électriques et sont sensibles aux vibrations sonores qu’émettent les prédateurs. L’extrémité des radicelles forment autant de centres névralgiques sensibles à leur environnement. Les plantes disposent d’un système de communication Internet souterrain très efficace où les racines de milliers d’individus sont interconnectées par des filaments de champignons mycorhizes. Cet ouvrage met en lumière certains aspects surprenants et peu connus du grand public sur la communication chez les plantes.
En tant que scientifique et chercheur professionnel, depuis plus d’un demi-siècle, Jean-Pierre Jost s’est intéressé à la nature sous tous ses aspects et en particulier des relations entre le règne végétal et animal.
Les auteurs
- Jean-Pierre Jost, ingénieur agronome EPFZ, docteur ès sciences, dirigea pendant des décennies un laboratoire de recherche aux États-Unis et en Suisse.
- Yan-Chim Jost-Tse, diplômée d’une université américaine, est sa collaboratrice depuis 1969.
Les plantes communiquent entre elles ou avec les animaux (insectes et vertébrés) par une combinaison d’odeurs, de phéromones, de couleurs, de lumière et de formes différentes. Certaines orchidées font même usage de leurres sexuels pour attirer les insectes pollinisateurs. Lorsque cela est nécessaire, pour se protéger des herbivores, elles font appel à des gardes du corps ou aux ennemis naturels (parasitoïdes) de leurs tourmenteurs. Ou encore elles avertissent leurs voisines d’un danger imminent afin que ces dernières se préparent à affronter l’ennemi ou la sécheresse. Les plantes communiquent également par champs électriques et sont sensibles aux vibrations sonores qu’émettent les prédateurs. L’extrémité des radicelles forment autant de centres névralgiques sensibles à leur environnement. Les plantes disposent d’un système de communication Internet souterrain très efficace où les racines de milliers d’individus sont interconnectées par des filaments de champignons mycorhizes. Cet ouvrage met en lumière certains aspects surprenants et peu connus du grand public sur la communication chez les plantes.
En tant que scientifique et chercheur professionnel, depuis plus d’un demi-siècle, Jean-Pierre Jost s’est intéressé à la nature sous tous ses aspects et en particulier des relations entre le règne végétal et animal.
Les auteurs
- Jean-Pierre Jost, ingénieur agronome EPFZ, docteur ès sciences, dirigea pendant des décennies un laboratoire de recherche aux États-Unis et en Suisse.
- Yan-Chim Jost-Tse, diplômée d’une université américaine, est sa collaboratrice depuis 1969.