Notre époque ne pense plus la mort comme autrefois. L’individu se trouve démuni face à un tel événement. À travers différentes rencontres, Bertrand Vergely formule ses réflexions où il mêle l´expérience réelle et la philosophie. Sans éluder les questions difficiles, ni réduire l’euthanasie et le suicide à une affaire technique ou juridique, il redonne toute sa dimension philosophique à la mort afin que celle-ci ne soit pas considérée comme une impasse.
« Je meurs, mais pourquoi ? », « Ma mort m´appartient ? », « L´euthanasie : une mort douce ? », « Le suicide : une liberté ? » : autant de questions qui se posent aujourd´hui dans le débat et auxquelles Bertrand Vergely essaie d´apporter des réponses qui intègrent une approche métaphysique et spirituelle.
Si, comme le soutiennent un certain nombre de penseurs, et non des moindres comme Épicure et Spinoza, nous avons avant tout besoin d’une philosophie pour vivre, nous avons également besoin d’une philosophie pour mourir.
Notre époque ne pense plus la mort comme autrefois. L’individu se trouve démuni face à un tel événement. À travers différentes rencontres, Bertrand Vergely formule ses réflexions où il mêle l´expérience réelle et la philosophie. Sans éluder les questions difficiles, ni réduire l’euthanasie et le suicide à une affaire technique ou juridique, il redonne toute sa dimension philosophique à la mort afin que celle-ci ne soit pas considérée comme une impasse.
« Je meurs, mais pourquoi ? », « Ma mort m´appartient ? », « L´euthanasie : une mort douce ? », « Le suicide : une liberté ? » : autant de questions qui se posent aujourd´hui dans le débat et auxquelles Bertrand Vergely essaie d´apporter des réponses qui intègrent une approche métaphysique et spirituelle.
Si, comme le soutiennent un certain nombre de penseurs, et non des moindres comme Épicure et Spinoza, nous avons avant tout besoin d’une philosophie pour vivre, nous avons également besoin d’une philosophie pour mourir.