Qui étaient les Pélasges ? Quel est l’origine de l’alphabet des berbères ? L’Histoire officielle nous enseigne que les Pélasges sont les peuples pré-indo-européens qui s’installèrent sur les îles et côtes de la mer Egée vers 3000 avant soumettant les rares « autochtones », avant d’être eux-mêmes soumis entre 2000 et 1200 avant J.-C. par différentes vagues d’Indo-Européens. Elle les fait venir d’Orient. Et si c’était l’inverse ? Si ce mouvement était double, d’abord d’Ouest en Est puis retour ?
Dans cette étude nous examinons donc une autre thèse à savoir la provenance occidentale de cette diaspora atlantéenne qui par la suite d’un évènement majeur se dispersa sur le pourtour du bassin méditerranéen et remonta ensuite vers le nord jusqu’en Irlande. On peut suivre sa progression qui est contemporaine du mégalithisme qui se répand en Europe.
Des indices recueillis par l’ensemble des civilisations nous ayant précédé, nous pouvons supposer qu’elle était maritime, avec ses colonies et ses comptoirs côtiers aujourd’hui ensevelis sous plusieurs dizaines de mètres d’eau et quelques mètres de sédiments. Mais elle était surtout dépositaire de la Tradition Primordiale, notamment au travers de l’Alphabet et de l’écriture sacrée et dans la pratique de ses cultes cabiriques communs à tous ces peuples : berbères, phéniciens, minoens, étrusques ou celtibères … En effet la connaissance de l’Alphabet relève des sociétés matriarcales et ce savoir est détenu par les prêtresses issues des communautés qui sont toutes en définitive cabiriques et honorent le culte de la Mater Dolorosa, la Prima Mater. C’est à rassembler ce puzzle que nous nous sommes attelés en vue d’en dresser un portrait cohérent et lisible afin de dégager les contours de cette Tradition Primordiale au carrefour des civilisations qui vont naitre et former notre monde. Sous cet angle, le mythe de l’Atlantide recouvre un fondement bien réel et commun à de nombreux peuples avant les invasions indo-européennes qui vont occulter le rôle de nos premiers grands civilisateurs dont nous parlons toujours cependant et sans le savoir la langue originelle.
Quelques dossiers raités dans les volumes I et 2 :
Après les importantes découvertes de Champollion, l’archéologie égyptienne dans l’entre deux guerres connu un âge d’or grâce aux éminents spécialistes que furent Gaston Maspéro, Léon Mayou, Emile Amélineau et tant d’autres regroupés au sein de l’école françasie du Caire. D’importantes hypothèses furent formulées qui aujourd’hui n’ont plus droit de cité. Passé cet âge d’or il y eut un dernier sursaut après guerre avec l’école symboliste connu aussi sous le nom de Groupe de Louksor avec à sa tête le très grand Alexandre de Varille et Schwaller de Lubicz. Là aussi une chape de plomb recouvra les travaux innovants. Pourquoi ? C’est qu’entre temps l’Égypte et la vallée du Nil étaient devenus des enjeux touristiques économiques important pour la nouvelle Égypte et qu’il fallait présenter aux mannes à deux pattes qui déambulaient sur les sites un visage conforme à leurs attentes. Surtout un visage euro-compatible. Mais aujourd’hui même le touriste veut en savoir d’avantage et comprend grâce aux réseaux sociaux qu’une autre histoire s’est jouée ici, la plus grande aventure humaine qui soit et c’est ce coin du voile que nous osons soulever.
Qui étaient les Pélasges ? Quel est l’origine de l’alphabet des berbères ? L’Histoire officielle nous enseigne que les Pélasges sont les peuples pré-indo-européens qui s’installèrent sur les îles et côtes de la mer Egée vers 3000 avant soumettant les rares « autochtones », avant d’être eux-mêmes soumis entre 2000 et 1200 avant J.-C. par différentes vagues d’Indo-Européens. Elle les fait venir d’Orient. Et si c’était l’inverse ? Si ce mouvement était double, d’abord d’Ouest en Est puis retour ?
Dans cette étude nous examinons donc une autre thèse à savoir la provenance occidentale de cette diaspora atlantéenne qui par la suite d’un évènement majeur se dispersa sur le pourtour du bassin méditerranéen et remonta ensuite vers le nord jusqu’en Irlande. On peut suivre sa progression qui est contemporaine du mégalithisme qui se répand en Europe.
Des indices recueillis par l’ensemble des civilisations nous ayant précédé, nous pouvons supposer qu’elle était maritime, avec ses colonies et ses comptoirs côtiers aujourd’hui ensevelis sous plusieurs dizaines de mètres d’eau et quelques mètres de sédiments. Mais elle était surtout dépositaire de la Tradition Primordiale, notamment au travers de l’Alphabet et de l’écriture sacrée et dans la pratique de ses cultes cabiriques communs à tous ces peuples : berbères, phéniciens, minoens, étrusques ou celtibères … En effet la connaissance de l’Alphabet relève des sociétés matriarcales et ce savoir est détenu par les prêtresses issues des communautés qui sont toutes en définitive cabiriques et honorent le culte de la Mater Dolorosa, la Prima Mater. C’est à rassembler ce puzzle que nous nous sommes attelés en vue d’en dresser un portrait cohérent et lisible afin de dégager les contours de cette Tradition Primordiale au carrefour des civilisations qui vont naitre et former notre monde. Sous cet angle, le mythe de l’Atlantide recouvre un fondement bien réel et commun à de nombreux peuples avant les invasions indo-européennes qui vont occulter le rôle de nos premiers grands civilisateurs dont nous parlons toujours cependant et sans le savoir la langue originelle.
Quelques dossiers raités dans les volumes I et 2 :
Après les importantes découvertes de Champollion, l’archéologie égyptienne dans l’entre deux guerres connu un âge d’or grâce aux éminents spécialistes que furent Gaston Maspéro, Léon Mayou, Emile Amélineau et tant d’autres regroupés au sein de l’école françasie du Caire. D’importantes hypothèses furent formulées qui aujourd’hui n’ont plus droit de cité. Passé cet âge d’or il y eut un dernier sursaut après guerre avec l’école symboliste connu aussi sous le nom de Groupe de Louksor avec à sa tête le très grand Alexandre de Varille et Schwaller de Lubicz. Là aussi une chape de plomb recouvra les travaux innovants. Pourquoi ? C’est qu’entre temps l’Égypte et la vallée du Nil étaient devenus des enjeux touristiques économiques important pour la nouvelle Égypte et qu’il fallait présenter aux mannes à deux pattes qui déambulaient sur les sites un visage conforme à leurs attentes. Surtout un visage euro-compatible. Mais aujourd’hui même le touriste veut en savoir d’avantage et comprend grâce aux réseaux sociaux qu’une autre histoire s’est jouée ici, la plus grande aventure humaine qui soit et c’est ce coin du voile que nous osons soulever.